Naker a menacé de transformer la Libye en un brasier, qualifiant le chef du conseil militaire de Tripoli, Abdelhakim Belhaj, « de produit du Qatar ». « Nous dirons aux Américains bienvenue, nous serons dans leur attente, et nous l’enflammerons beaucoup plus de ce qu’ils ont observé en Irak », souligne-t-il, cité par le journal « la nouvelle Libye », dans son édition d’hier.
Le chef des insurgés de Tripoli, Abdallah Naker, a lancé une diatribe contre les Etats-Unis, qui ont proposé une assistance pour l’organisation de l’armée libyenne, mettant en garde contre ce qu’il qualifie « d’ingérence américaine, et de transformation de la Libye en un nouvel Irak ».
« Nos armes sont là, ainsi que nos insurgés qui sont prêts, tout peut être consenti pour la Libye », a-t-il ajouté en substance.
Abdallah Naker a critiqué les conseils militaires qui reçoivent des aides étrangères, considérant le chef du conseil militaire de Tripoli comme « un produit du Qatar », « il a reçu un soutien du Qatar, à côté d’autres personnalités », qu’il n’a pas citées.
Il a indiqué que son conseil comprend une grande force, dépassant les 100 mille insurgés, répartis sur les différentes régions de la Libye, soulignant qu’il s’appuie « sur un autofinancement, à travers des organisations de la société civile et des hommes d’affaires patriotes ».
« Nous sommes de vrais insurgés, et non influencés par le Qatar, comme un bon nombre de personnes qui prétendent être des rebelles », relève-t-il.
« De nombreuses sources de financement nous ont été proposées, de plusieurs Etats, comme le Qatar, la Jordanie, les Emirats, l’Amérique, la France, et d’autres médiateurs qui pourraient être des Israéliens, mais nous les avons refusées, car nous ne sommes pas à vendre », a-t-il souligné.
Tout en affirmant qu’il ne s’est jamais rendu au Qatar, il a dit ne pas être contre l’Emirat, et « nous le remercions pour son rôle, mais qu’il s’immisce dans nos affaires intérieures, cela est un danger ».
Le chef du conseil des insurgés de Tripoli demande que le gouvernement soit à 100 % libyen : « pourquoi font-ils venir des gens de l’étranger, malgré l’existence de compétence à l’intérieur, qui étaient prêtes à se sacrifier pour le pays pendant la révolution ».
Les Etats-Unis ont proposé récemment, par la voie de leur porte-parole, Victoria Nuland, une assistance militaire au conseil national de transition libyen pour l’aider à organiser les milices armées, et les intégrer dans une armée libyenne.
http://www.sanfinna.com/?p=28787
Le chef des insurgés de Tripoli, Abdallah Naker, a lancé une diatribe contre les Etats-Unis, qui ont proposé une assistance pour l’organisation de l’armée libyenne, mettant en garde contre ce qu’il qualifie « d’ingérence américaine, et de transformation de la Libye en un nouvel Irak ».
« Nos armes sont là, ainsi que nos insurgés qui sont prêts, tout peut être consenti pour la Libye », a-t-il ajouté en substance.
Abdallah Naker a critiqué les conseils militaires qui reçoivent des aides étrangères, considérant le chef du conseil militaire de Tripoli comme « un produit du Qatar », « il a reçu un soutien du Qatar, à côté d’autres personnalités », qu’il n’a pas citées.
Il a indiqué que son conseil comprend une grande force, dépassant les 100 mille insurgés, répartis sur les différentes régions de la Libye, soulignant qu’il s’appuie « sur un autofinancement, à travers des organisations de la société civile et des hommes d’affaires patriotes ».
« Nous sommes de vrais insurgés, et non influencés par le Qatar, comme un bon nombre de personnes qui prétendent être des rebelles », relève-t-il.
« De nombreuses sources de financement nous ont été proposées, de plusieurs Etats, comme le Qatar, la Jordanie, les Emirats, l’Amérique, la France, et d’autres médiateurs qui pourraient être des Israéliens, mais nous les avons refusées, car nous ne sommes pas à vendre », a-t-il souligné.
Tout en affirmant qu’il ne s’est jamais rendu au Qatar, il a dit ne pas être contre l’Emirat, et « nous le remercions pour son rôle, mais qu’il s’immisce dans nos affaires intérieures, cela est un danger ».
Le chef du conseil des insurgés de Tripoli demande que le gouvernement soit à 100 % libyen : « pourquoi font-ils venir des gens de l’étranger, malgré l’existence de compétence à l’intérieur, qui étaient prêtes à se sacrifier pour le pays pendant la révolution ».
Les Etats-Unis ont proposé récemment, par la voie de leur porte-parole, Victoria Nuland, une assistance militaire au conseil national de transition libyen pour l’aider à organiser les milices armées, et les intégrer dans une armée libyenne.
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