La chancelière allemande Angela Merkel a insisté lundi sur l’importance de la rigueur budgétaire en Europe. Autrement dit, elle a envoyé François Hollande dans les roses.
Flanby va avoir du mal à changer l’Europe…
François Hollande sera accueilli « à bras ouverts », a déclaré la chancelière lors d’une conférence de presse. Elle a ajouté : « Nous travaillerons bien et de façon intensive ensemble ». Mais elle s’est montrée inflexible sur le pacte budgétaire européen, auquel François Hollande veut adjoindre un volet de croissance.
« Le pacte budgétaire n’est pas négociable », a martelé la chancelière conservatrice.
Le choc socialiste, déjà ?
« Il n’est pas possible de tout renégocier après chaque élection », car dans ces conditions, « l’Europe ne fonctionne plus », a-t-elle encore déclaré. Et si le pacte est renégocié « la Grèce pourrait demander à renégocier aussi » son plan d’austérité.
L’Allemagne ne veut pas « d’une croissance par des déficits, mais d’une croissance par des réformes structurelles », et vlan dans les flans, Hollande à la niche. François Hollande, qui ne connaît de l’économie que la ruine de la Corrèze par la dépense, va devoir trouver autre chose – quelque chose. Peut être une dose de capitalisme salvateur ?
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire