Lambert Christian
Comme tout le monde, j’ai entendu certains des propos tenus par Jean-Luc Mélenchon qui rappelle des souvenirs que l’on aimerait avoir oubliés.
Cet ancien sénateur socialiste, franc-maçon précise la presse, membre du gouvernement Jospin, est revenu à ses premières amours, le communisme trotskiste. Il s’est présenté dans ses très nombreux discours de candidat comme un admirateur de la Terreur, de Robespierre, de Saint-Just, de la Commune de Paris et de la « Grande Révolution bolchevique » de 1917.
En d’autres termes, Mélenchon est clairement favorable au communisme dans le monde (c’est-à-dire 100 millions de victimes depuis 1917, les camps de la mort et la torture). Pour être complet, ce pied-noir a déclaré qu’il souhaitait davantage encore de Maghrébins en France et plus encore de « mariages mixtes », le mot « mariage » étant une façon de parler.
Que la France en 2012 compte quelques excités de ce genre, ce n’est guère étonnant. Ce qui l’est plus, c’est que presque 4 millions d’électeurs soient en faveur de Mélenchon et du communisme, alors que nul n’ignore que c’est la pire barbarie qu’ait connue l’humanité, aussi bien par son étendue que par ses crimes.
Pour autant, le communisme se porte fort bien. Par exemple en Corée du Nord où l’on peut voir (p. 20 du « Monde » du 19 avril) ce qu’est la torture généralisée, comme en témoigne le martyre subi par le jeune Shim Dong Hyuk : « Ses reins portent les cicatrices de la torture par le feu. La peau de son pubis révèle les stigmates du crochet par lequel un garde le maintenait au-dessus du brasier… » Ayant été dénoncée sous la torture par son fils, la mère de Shim a été pendue. En Chine, qui fait l’objet de l’admiration de bon nombre de Français, les mêmes traitements sont infligés dans de nombreux « camps de travail ». Et, dans la Russie d’aujourd’hui que dirige un lieutenant-colonel du KGB (la Gestapo russe), il n’est pas recommandé d’aller vérifier ce qu’il en est en ce domaine.
Ce que je veux dire, c’est qu’il est stupéfiant que, depuis 70 ans, les champions proclamés de la démocratie et des droits de l’homme qui gouvernent la France, se soient, en fait, montré les complices des crimes contre l’humanité commis par la barbarie communiste.La vérité oblige à rappeler que le général De Gaulle avait comme bras droit en 1944 Maurice Thorez, chef du Parti communiste français, le plus inféodé à Moscou ; que Mitterrand, en 1981, avait 4 ministres staliniens ; que son épouse légitime témoignait de son admiration à Fidel Castro, au point d’inviter « Fidel » chez elle, rue de Bièvres à Paris ; que Jacques Chirac distribuait « L’Humanité » lorsqu’il était étudiant et déclarait récemment qu’il ne reniait rien de sa jeunesse en faisant le lieutenant-colonel du KGB Poutine grand-croix de la Légion d’Honneur…
Alors que va faire Français Hollande avec les 4 millions d’électeurs du communiste Mélenchon ?
Plus près de nous, si j’ose dire, les prisonniers militaires français du camp 113 ont subi les traitements infligés par le communiste français Boudarel, commissaire politique d’un camp où la mortalité était supérieure à celle d’Auschwitz. Les archives qui le prouvent sont à Vincennes. Vous pouvez les consulter. La torture supervisée par Boudarel, c’était notamment la « cage à buffles » où, ficelé à un poteau, le militaire français était plongé dans un trou d’eau où il agonisait dans le froid, rongé par les rats, les fourmis et les araignées, et où il était condamné à crier « Vive Ho Chi Minh ! »
Ce même Ho Chi Minh qu’une personnalité française qui vient de disparaître, et dont les obsèques ont eu lieu aux Invalides en grande pompe, accueillait chez elle avant de se rendre à Saïgon, en 1975, pour saluer les « libérateurs » communistes – comme d’autres, que j’ai vus de mes propres yeux, allaient célébrer à Phnom Penh l’entrée des khmers rouges dans la capitale du Cambodge. Eh bien, cette personnalité française a reçu la plus haute distinction française dans l’ordre de la Légion d’Honneur, comme le camarade Poutine.
Un mot rapide encore sur ces militants communistes qui prenaient d’assaut les trains sanitaires de rapatriés d’Indochine pour frapper les blessés.
Et, ce que vient de déclarer François Hollande : « Il y a une culture communiste en France et je veux, ici même, lui rendre hommage. »
Et après ? Eh bien, après, rien, sinon de bonnes et larges subventions distribuées tous les ans à la CGT et au « Parti ». Car les camarades ont pris leurs précautions. Lorsque le tortionnaire Boudarel a regagné la France, via Moscou et Prague, il a été accueilli en héros par l’Université. En quelques années, il a franchi tous les échelons de la carrière universitaire, au point de bénéficier d’une position très rare, réservée à 10 % seulement de ses collègues. Et, lorsque le secrétaire d’État aux Anciens combattants de Valéry Giscard d’Estaing, Jean-Jacques Beucler, l’a reconnu en 1991, ainsi que quelques autres survivants du camp 113, stupéfaits de voir ce tortionnaire se pavaner en France, on leur a opposé l’article 30 de la loi du 18 juin 1966 : « Sont amnistiés de plein droit tous crimes ou délits commis en liaison avec les événements consécutifs à l’insurrection vietnamienne et antérieurement au 1er octobre 1957. »
De façon générale, les politiciens français et autres personnalités de gauche, complices de crimes contre l’humanité, n’ont aucun souci à se faire. La législation française ne considère comme « crime contre l’humanité » que les crimes commis par les puissances de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Donc continuer à s’interroger sur le goulag et les exécutions de masse pratiquées dans les pays communistes reste un blasphème. Le camarade Mélenchon qui, selon, les critères de François Hollande, est un riche (ce qui est assez piquant, vous en conviendrez), peut encore et encore nous promettre les « charmes » de la dictature du prolétariat.
Tout ceci est malheureusement conforme au fond de la mentalité de beaucoup dans notre pays qui veulent le nivellement par le bas, la spoliation des honnêtes gens et, en réalité, la misère pour tous. Attendez la suite et vous verrez…
Comme tout le monde, j’ai entendu certains des propos tenus par Jean-Luc Mélenchon qui rappelle des souvenirs que l’on aimerait avoir oubliés.
Cet ancien sénateur socialiste, franc-maçon précise la presse, membre du gouvernement Jospin, est revenu à ses premières amours, le communisme trotskiste. Il s’est présenté dans ses très nombreux discours de candidat comme un admirateur de la Terreur, de Robespierre, de Saint-Just, de la Commune de Paris et de la « Grande Révolution bolchevique » de 1917.
En d’autres termes, Mélenchon est clairement favorable au communisme dans le monde (c’est-à-dire 100 millions de victimes depuis 1917, les camps de la mort et la torture). Pour être complet, ce pied-noir a déclaré qu’il souhaitait davantage encore de Maghrébins en France et plus encore de « mariages mixtes », le mot « mariage » étant une façon de parler.
Que la France en 2012 compte quelques excités de ce genre, ce n’est guère étonnant. Ce qui l’est plus, c’est que presque 4 millions d’électeurs soient en faveur de Mélenchon et du communisme, alors que nul n’ignore que c’est la pire barbarie qu’ait connue l’humanité, aussi bien par son étendue que par ses crimes.
Pour autant, le communisme se porte fort bien. Par exemple en Corée du Nord où l’on peut voir (p. 20 du « Monde » du 19 avril) ce qu’est la torture généralisée, comme en témoigne le martyre subi par le jeune Shim Dong Hyuk : « Ses reins portent les cicatrices de la torture par le feu. La peau de son pubis révèle les stigmates du crochet par lequel un garde le maintenait au-dessus du brasier… » Ayant été dénoncée sous la torture par son fils, la mère de Shim a été pendue. En Chine, qui fait l’objet de l’admiration de bon nombre de Français, les mêmes traitements sont infligés dans de nombreux « camps de travail ». Et, dans la Russie d’aujourd’hui que dirige un lieutenant-colonel du KGB (la Gestapo russe), il n’est pas recommandé d’aller vérifier ce qu’il en est en ce domaine.
Ce que je veux dire, c’est qu’il est stupéfiant que, depuis 70 ans, les champions proclamés de la démocratie et des droits de l’homme qui gouvernent la France, se soient, en fait, montré les complices des crimes contre l’humanité commis par la barbarie communiste.La vérité oblige à rappeler que le général De Gaulle avait comme bras droit en 1944 Maurice Thorez, chef du Parti communiste français, le plus inféodé à Moscou ; que Mitterrand, en 1981, avait 4 ministres staliniens ; que son épouse légitime témoignait de son admiration à Fidel Castro, au point d’inviter « Fidel » chez elle, rue de Bièvres à Paris ; que Jacques Chirac distribuait « L’Humanité » lorsqu’il était étudiant et déclarait récemment qu’il ne reniait rien de sa jeunesse en faisant le lieutenant-colonel du KGB Poutine grand-croix de la Légion d’Honneur…
Alors que va faire Français Hollande avec les 4 millions d’électeurs du communiste Mélenchon ?
Plus près de nous, si j’ose dire, les prisonniers militaires français du camp 113 ont subi les traitements infligés par le communiste français Boudarel, commissaire politique d’un camp où la mortalité était supérieure à celle d’Auschwitz. Les archives qui le prouvent sont à Vincennes. Vous pouvez les consulter. La torture supervisée par Boudarel, c’était notamment la « cage à buffles » où, ficelé à un poteau, le militaire français était plongé dans un trou d’eau où il agonisait dans le froid, rongé par les rats, les fourmis et les araignées, et où il était condamné à crier « Vive Ho Chi Minh ! »
Ce même Ho Chi Minh qu’une personnalité française qui vient de disparaître, et dont les obsèques ont eu lieu aux Invalides en grande pompe, accueillait chez elle avant de se rendre à Saïgon, en 1975, pour saluer les « libérateurs » communistes – comme d’autres, que j’ai vus de mes propres yeux, allaient célébrer à Phnom Penh l’entrée des khmers rouges dans la capitale du Cambodge. Eh bien, cette personnalité française a reçu la plus haute distinction française dans l’ordre de la Légion d’Honneur, comme le camarade Poutine.
Un mot rapide encore sur ces militants communistes qui prenaient d’assaut les trains sanitaires de rapatriés d’Indochine pour frapper les blessés.
Et, ce que vient de déclarer François Hollande : « Il y a une culture communiste en France et je veux, ici même, lui rendre hommage. »
Et après ? Eh bien, après, rien, sinon de bonnes et larges subventions distribuées tous les ans à la CGT et au « Parti ». Car les camarades ont pris leurs précautions. Lorsque le tortionnaire Boudarel a regagné la France, via Moscou et Prague, il a été accueilli en héros par l’Université. En quelques années, il a franchi tous les échelons de la carrière universitaire, au point de bénéficier d’une position très rare, réservée à 10 % seulement de ses collègues. Et, lorsque le secrétaire d’État aux Anciens combattants de Valéry Giscard d’Estaing, Jean-Jacques Beucler, l’a reconnu en 1991, ainsi que quelques autres survivants du camp 113, stupéfaits de voir ce tortionnaire se pavaner en France, on leur a opposé l’article 30 de la loi du 18 juin 1966 : « Sont amnistiés de plein droit tous crimes ou délits commis en liaison avec les événements consécutifs à l’insurrection vietnamienne et antérieurement au 1er octobre 1957. »
De façon générale, les politiciens français et autres personnalités de gauche, complices de crimes contre l’humanité, n’ont aucun souci à se faire. La législation française ne considère comme « crime contre l’humanité » que les crimes commis par les puissances de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Donc continuer à s’interroger sur le goulag et les exécutions de masse pratiquées dans les pays communistes reste un blasphème. Le camarade Mélenchon qui, selon, les critères de François Hollande, est un riche (ce qui est assez piquant, vous en conviendrez), peut encore et encore nous promettre les « charmes » de la dictature du prolétariat.
Tout ceci est malheureusement conforme au fond de la mentalité de beaucoup dans notre pays qui veulent le nivellement par le bas, la spoliation des honnêtes gens et, en réalité, la misère pour tous. Attendez la suite et vous verrez…
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