Mardi 7 mai, un musulman est entré dans la gendarmerie de Roussillon dans l’Isère, il s’est jeté sur un gendarme, et l’a poignardé à la gorge – sans doute pour le décapiter, en hurlant les sinistres mots « Allah akhbar » et « Allah, Allah » qui précèdent les massacres et les meurtriers attentats terroristes au nom d’Allah.
Une fois le coup de couteau à la gorge donné, il a poursuivi d’autres gendarmes dans les couloirs.
Le musulman, âgé de 30 ans, refusant de lâcher son arme, a alors reçu plusieurs balles dans les jambes tirées par un gendarme.
« L’homme s’est écroulé, on lui a de nouveau demandé de lâcher son couteau, mais il a fait mine de chercher quelque chose dans sa poche » alors un gendarme lui a tiré deux nouvelles fois dans les jambes, a déclaré le procureur de Vienne, Matthieu Bourrette.
La blessure du gendarme est superficielle et n’a pas provoqué d’hémorragie.
L’islamiste a été hospitalisé à Lyon « sous étroite surveillance » selon le parquet de Vienne, mais je ne serais pas étonné que des juges épingleurs de cons le remettent rapidement en liberté.
D’ailleurs la musique a déjà commencé à jouer : déroutés qu’on puisse tenter de décapiter un gendarme en hurlant « Allah, Allah », les autorités ont provisoirement conclu que l’homme ne pouvait être que déséquilibré.
Pire, le pieux musulman, avait « considérablement changé de comportement de l’avis même de ses proches depuis son retour il y a trois jours d’un voyage à La Mecque », a rapporté le magistrat probablement atteint de négationnisme du danger islamiste, et a jugé « totalement incohérents » les propos de l’homme.
Et je crains qu’il s’agisse plus là, de la part des juges, d’une profonde fissure intellectuelle, une grosse case en moins, qui les empêche de comprendre le nouveau monde multiculturel dans lequel ils vivent, que d’une tentative de soustraire l’islamiste à ses responsabilités – les juges ne manquant jamais de bonnes raisons pour relâcher les violeurs et les récidivistes.
Avec quelques dizaines de milliers d’islamistes et de jeunes en voie de radicalisation, la France a besoin d’urgence de se mettre à jour – et en tous cas avant que les musulmans ne deviennent tous … déséquilibrés.
Le militaire, qui « semble avoir agi en état de légitime défense », a été placé en garde à vue pour les nécessités de l’enquête.
Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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