mardi 25 avril 2017

Quand la lettre du coran tue, par Hélios d’Alexandrie

En Égypte, le Dimanche des rameaux, plus de quarante chrétiens, femmes, hommes et enfants ont été offerts en holocauste au dieu de l’islam. Allah se réjouit des flaques de sang, des lambeaux de chair et des corps déchiquetés par les bombes humaines. « Tuez les partout où vous les trouverez… » telle est l’injonction qu’il a prononcée de sa propre bouche, et qui a été pieusement transcrite dans ce fameux verset dit de l’épée. Parole sacrée entre toutes, valable pour tous les temps et tous les lieux, elle a désigné les ennemis d’Allah, ces chrétiens égyptiens priant en Église, que rien ne distingue des centaines de millions d’infidèles, qui à travers les siècles ont été pieusement immolés au cri d’Allah Akbar.

L’islam ! Cette religion inhumaine, dressée sur une montagne de deux cent soixante-dix millions de cadavres

Avec cet article criant de vérité, Père Henri Boulad ne déroge ni à son habitude ni à sa réputation : il fait voler en éclats un tabou soigneusement enfoui sous d’épaisses couches géologiques de rectitude politique, de lâchetés, de mensonges et de trahisons. Son acte d’accusation ne s’embarrasse pas de détours ni de précautions oratoires, il va droit au but et désigne le coupable, le seul, celui par qui tout le mal arrive, l’islam ! Cette religion inhumaine, dressée sur une montagne de deux cent soixante-dix millions de cadavres, et dont la soif de sang n’a d’égal que son obsession d’étouffer toutes les manifestations du génie humain.
L’islam est coupable mais il s’est entouré partout de nombreux complices et auxiliaires ; leur cheval de bataille c’est le mensonge sous toutes ses formes. Mentir sur la nature conflictuelle et violente de l’islam, sur sa nuisance au quotidien, sur ses crimes passés et présents, sur son hostilité congénitale, sur la haine dont il abreuve ses adeptes les plus observants, sur ses échecs historiques dans tous les domaines, sur ses projets de domination de la civilisation occidentale, etc. Le mensonge est l’ingrédient essentiel sans lequel la tyrannie de l’islam ne peut être établie.

Les esprits programmés par l’islam sont irrémédiablement détraqués et corrompus, la réalité n’a plus de prise sur eux

Mais la pire des tyrannies est celle que l’islam exerce sur les esprits. Elle transforme des êtres humains, des hommes jeunes et moins jeunes, des femmes et même des enfants en combattants voués corps et âmes à sa cause. Les esprits programmés par l’islam sont irrémédiablement détraqués et corrompus, la réalité n’a plus de prise sur eux, leur éthique naturelle se volatilise, leur humanité se décompose. C’est ainsi qu’ils deviennent les instruments volontaires du projet de conquête de l’islam, prêts à tuer et à mourir en échange du paradis.
Quand l’apôtre Saint-Paul a dit: « la lettre tue », il faisait œuvre de prophète. Il anticipait alors le coran et les fleuves de sang répandus à l’instigation de ses versets. La lettre du coran a tué sans mesure, elle continue de tuer sans restriction, et elle continuera de tuer encore et encore tant que son empire sur les esprits ne sera pas aboli.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie 
L’islam a des alliés puissants et inconscients dans la masse des braves, mais naïfs Occidentaux, cette frange bien-pensante de nos sociétés, qui se mettent en quatre pour protéger leurs chers principes de liberté de religion et de tolérance. Et l’Eglise participe de manière irresponsable à cette duperie pro-islam, au nom de cette vaste blague qu’est le dialogue inter-confessionnel islamo-chrétien.
C’est en tuant et en se faisant tuer au combat que le musulman observant se mérite le salut; il s’agit en fait d’un acte de foi, et on réalise par là que le jihad violent dans le sentier d’Allah est le témoignage le plus crédible de la foi islamique.

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