mardi 17 octobre 2017

La guerre qu'il faudrait mener Partie 1

La guerre qui nous est imposée par l'islam est une guerre de civilisation. On essaie d'abattre l'Européen ou l'occidental car il est à la tête d'une certaine civilisation.
La guerre qui est menée contre l'occident est une guerre de conquête des esprits à l'aide d'une intoxication psychologique. On a débaptisé la guerre et on l'appelle maintenant le vivre ensemble.

Si on nous impose le vivre ensemble sous forme de coexistence pacifique c'est pour assurer le succès de l'islam.

Sous forme d'un cheval de Troie, par exemple la migration massive de population vers l'Europe, l'islam s'introduit dans notre vie, dans nos foyers et dans nos esprits. Nous sommes bien naïfs de nous laisser abuser par ce cheval de Troie.
Bien des gens influents nous disent que nous serons tous musulmans d'ici une cinquantaine d'années.
C'est la raison pour laquelle la tactique et les techniques de l'adversaire doivent être connues afin qu'elles ne nous paraissent pas irréversibles et que nous ne nous sentions impuissants.

Qui en face de nous ?

L’occidental qui ne parvient pas à comprendre les principes qui régissent l’oumma (ou « omma ») ne peut pas comprendre la mentalité musulmane et ne peut, de ce fait, en contrecarrer les effets.

Dans les pays musulmans, l’islam se confond avec l’Etat ,
( Aucune autre religion n’a assimilé à ce point le pouvoir politique au pouvoir religieux. Jamais la religion catholique n’a eu une telle emprise sur les royaumes les plus proches du Saint-Siège, pas même à l’époque où les rois et les empereurs de la vieille Europe se qualifiaient de « fils de la Sainte Eglise de Rome ».
Comme forme équivalente d’organisation sociale, on ne peut guère citer que le lamaïsme (bouddhisme tibétain), encore que cette religion (mélange de philosophie bouddhiste et d’anciens rites animistes fondés sur la déification de la nature) ait produit des effets bien moins gênants que l’islam. En outre, le dernier Dalaï-Lama a admis que l’ancien système était devenu totalement anachronique.
Les musulmans, eux, ne veulent pas admettre les réalités de l’évolution historique et scientifique. Manipulés par les « écoles » coraniques, rendus impuissants par le poids de la sunna, ils s’enferment dans un obscurantisme rétrograde, stupide et pervers.
On pourrait, certes, mentionner le Vatican, état théocratique par essence et par vocation. Mais il n’a plus, de nos jours, aucune influence réelle. Avec ses 47 km² (Cité du Vatican + la résidence d’été de Castel Gondolfo), c’est bien plus une « propriété privée pontificale » qu’un Etat au sens strict du terme. Les quelques prérogatives étatiques dont il dispose encore ne lui sont guère accordées que par révérence ou politesse.)
la société musulmane elle-même possède – du moins en apparence – les caractères d’une théocratie laïque. Le Khalife – qui peut être le roi d’un pays musulman, comme au Maroc – est le successeur du prophète et, en tant que tel, c’est lui – et personne d’autre – qui détient le pouvoir exécutif. Il le tient « de dieu » comme les anciens monarques « de droit divin » qui régnèrent sur l’Europe. Mais si les Européens sont parvenus à abolir cette forme de pouvoir dans le courant du XIXe siècle, le monde islamique y est demeuré profondément attaché. Le khalîfe est le délégué de dieu sur terre, il parle en son nom et dirige en son nom. Et il n’est pas question, pour un « croyant », de remettre ce dogme en question.
Entre l’Europe démocratique et laïque, d’une part, et le monde musulman imprégné de cette vision théocratique du monde, d’autre part, le fossé s’est agrandi d’années en années et il est quasiment impossible de le combler. L’Européen ne vit plus, depuis belle lurette, sous la férule d’une loi intangible et irrévocable qui aurait été dictée par un être suprême, invisible et inconnaissable. Une loi qui vaut tant pour le spirituel que pour le séculier. Le musulman, lui, accepte toujours cette façon de voir les choses. Et il n’est que très rarement disposé à se remettre en question. Pour qu’un musulman accepte de « discuter » ou de reconsidérer ses positions, il faut qu’il ait été coupé de sa communauté et de sa famille. Sinon, les contraintes exercées par son entourage l’empêchent de faire intervenir son libre-arbitre et de s’exprimer en tant qu’individu.
L’Européen vit et s’organise en fonction de lui-même et de ses proches. Le musulman vit et s’organise en fonction de l'ensemble de sa communauté. C’est un comportement social qui se rapproche de celui des Japonais, ceux-çi étant cependant tournés vers le futur et peu enclins à regarder hors de leurs frontières tandis que les musulmans sont tournés vers le passé et considèrent leur communauté mondialement, hors notion de frontières.
En terre d’islam, le devoir religieux des chefs constitue une fin en soi. Et elle renferme tout ce qui peut être accompli en faveur et au nom de l’islam, considéré à la fois comme religion et comme système socio-politique. Dans un tel contexte, le khalîfe conquiert, défend et administre au nom de l’islam et du coran. Ce système s’appuie cependant sur des généralités de principe, non sur des règles stables. C’est un système autoritaire et foncièrement anti-démocratique. Il n’y a personne entre le Khâlife et ses sujets, hormis des hommes à sa dévotion (policiers, militaires, juges,…) qui sont chargés d’appliquer la sharî’a en son nom et au nom d’Allah. En terre d’islam, tout homme qui est censé avoir une connaissance suffisante de la « Loi » peut remplir n’importe quelle fonction politique, administrative ou judiciaire. C’est la suprématie absolue de l'enseignement coranique sur toutes les autres formes d’éducation. Et c’est pour cela que, dans de nombreux pays musulmans, on ne dispense que coranique. C’est là une source supplémentaire de fracture entre le monde occidental – ouvert sur toutes les connaissances – et le monde musulman obstinément hostile à toute connaissance qui n’est pas conforme à la lettre du coran.



Il résulte de tout cela que l’omma – qui constitue le fondement de la société musulmane – est un principe erroné aux effets pervers. Il induit inévitablement un type de gouvernement antidémocratique, rarement efficace et généralement instable. Pour avoir quelques chances de survie, un pouvoir politique inspiré par l’islam ne peut être que dictatorial et despotique. C’est le cas pour l’Arabie Saoudite et, dans une moindre mesure, pour le Maroc. L’exemple le plus caricatural que l’on puisse citer est celui du régime des talibans, en Aghanistan. Il avait réuni, en quelques années tous les défauts, toutes les tares qu’un régime islamique « pur et dur » pouvait engendrer. C’est pourtant ce genre de régime que les « fous d’Allah » (notamment ceux qui se sont ralliés à ben Laden) voudraient imposer au monde entier. C’est de la folie à l’état pur !
Comme le faisait remarquer l’auteur d’un excellent article paru dans « L’Express », il peut paraître étonnant de constater que bon nombre de recrues du réseau « al Qaïda » sont nés dans des pays d’Europe occidentale, donc relativement démocratiques. Ils ont fait des études et sont parfois détenteurs de diplômes délivrés par l’enseignement supérieur ou universitaire. Ils n’en sont pourtant pas moins de redoutables activistes et des fanatiques extrêmement dangereux. Cependant, l’analyste politique qui connaît bien le coran et l’islam ne s’étonnera nullement de cela. Déracinés, incapables de s’insérer dans un contexte socio-culturel (et socio-politique) qui est en totale contradiction avec les traditions que leur communauté leur a inculqué et persiste à entretenir hors des limites du monde musulman – ils finissent par s’en remettre à des orientations politico-religieuses qui ne sont pas sans rappeler celles des chiites des premiers temps. C’est une sorte de contestation globale de la société, une vision anarchique qui s’insère dans un schéma religieux à la fois irrationnel, anachronique et empreint de « don quichotisme ». C’est une sorte de « quête du graal » à la mode arabe, une fuite en avant teintée d’une sorte de « romantisme islamique » qui s’imprègne des « épopées » de la grande époque des conquêtes arabo-musulmanes.
C’est aussi stupide que de vouloir refaçonner l’Europe en s’inspirant du modèle napoléonien ou des principes énoncés par Charlemagne ou Charles-Quint !
C’est surtout la preuve d’une incapacité à s’adapter et à évoluer qui est propre aux adeptes de l'islam. Et s’il est vrai que la politique dite d’ « intégration » qui a été menée jusqu’à ce jour par les pays européens n’est pas un modèle du genre, il faut aussi reconnaître que nombreux, très nombreux, sont les musulmans qui refusent de s’intégrer, autrement dit de vivre en Europe selon les us et coutumes des occidentaux. Ils veulent vivre en Occident, ils veulent profiter de l'occident mais ils ne veulent pas de nos lois et de nos coutumes. Ils s’enferment dans leurs ghettos et rêvent d’une Europe « islamisée » où la sharî’a remplacerait nos codes civils et pénaux, une Europe où l’Arabe serait devenu une langue officielle et où les minarets des mosquées domineraient les clochers des cathédrales.

En s'inspirant de Freud on peut dire que l'Oumma est une masse. Impulsive,mobile,irritable,autoritaire,intolérante,influençable et crédule. Est-elle capable d'une volonté persévérante ?
Elle ne supporte aucun délai entre le désir et sa réalisation. Elle a des sentiments simples et exaltés, elle ne connaît ni le doute ni l'incertitude et par vite aux extrêmes.
C'est un troupeau docile incapable de vivre sans un maître. Elle n'aime ni n'a soif de vérité, elle ne veut que des illusions ; capable du meilleur comme du pire.
Tous ces caractères sont utilisés par des meneurs , imans et recruteurs.
Un individu qui se laisse englobé perdra sa pensée consciente et son activité intellectuelle sera diminuée. Il se forgera une âme collective inconsciente et uniforme.
Il transformera souvent en actes, l'idée qui lui sera suggérée car pour lui l'impossible n'existera plus et il n'en prendra inconsciemment pas d'avantage personnel.
Donc il sera devenu un instinctif , un barbare.

Cette Oumma est une structure simple qui s'étend sur plusieurs générations. Un produit social vague qui dépend d'un conscience et d'un destin commun.

Dans un milieu destructeur , un individu est déterminé par la pensée du milieu. Mais un individu peut dans un milieu caché déterminé ce milieu.

Une guerre psychologique sera difficile à mener à ces communautés solides ou naturelles.

En occident, la société composée de groupes organiques est en voie de disparition.

Qu'en reste-til ? La famille qui est l'encadrement traditionnel mais dans des formes diversifiées. La famille n'est plus respectée en tant que groupe immuable.

La patrie, cette valeur n'est plus admise.
Les valeurs anciennes sont érodées et pas remplacées par un système cohérent, ce qui fait l'objet de luttes politiques.
On peut dire que l'occident se situe actuellement dans une une forme d'individualisme extrême.

L'homme étant une être sociable a besoin de s'intégrer dans un groupe.

Il y a le groupe primaire qui défénd l'ensemble des intérêts de ses membres en le protégeant et lui imposant contrainte ,pression, répression.

Le groupe secondaire plus restreint fait partie du groupe primaire mais s'impose sans contrainte. Les groupes secondaires peuvent être multiples.

Une civilisation se caractérise par la mutiplicité de groupes secondaires. Plus la complexité est grande, plus l' influence sera difficile, et dans un groupe secondaire plus la cohésion est grande moins l'influence agira.
Donc pour éviter la propagande nocive il faut maintenir une complexité et une complexité de la conscience nationale.

Bien souvent les groupes secondaires disparaissent et il ne reste qu'un groupe primaire basé sur l'inconscient.

Les recruteurs tentent de faire disparaître le cloisonnement social en commençant par éloigner l'individu de sa famille. On arrive alors à un protectorat du recuteur d'où l'abandon de la liberté individuelle de l'individu recruté. Cela inclut encadrement et manipulations psychologiques. L'individu devient un déséquilibré psychique.
Il faudrait maintenir la complexité d'une consience nationale car quand les manipulateurs font disparaître les groupes secondaires comme la famille il ne reste qu'un groupe basé sur l'inconscient.

Le résultat de cette dislocation de groupes secondaires se caractérise par l'apparition de protectorat social. Cela entraînera une diminution des libertés individuelles et des manipulations psychologiques.

L'occidental vit sur des traditions qui forment des images de comportement. Mais elles disparaissent volontairement ou involontairement et notre psychisme en devient déséquilibré.

Il y a la rupture matérielle. L'occidental vit de moins en moins à la campagne et il est attiré par la ville.
Apparition des cités , des moyens de transport rapide qui permettent à l'occidental de s'éloigner de son milieu naturel.

La ville est un environnement social mort. Bien souvent l'occidental a besoin de drogues et de tranquilisants pour retrouver une certaine sérénité.
Il y a aussi l'ère industrielle. Tout est triste lorsque l'on voit les files et les groupes débarquant dans les gares pour se rendre au travail.
Les habitants occidentaux son en manque de chaleur humaine et bien souvent il cherchera à combler ce manque en s'engageant dans un mouvement.
Le travail en lui même ne permet plus d'exprimer sa personnalité. Le travail apporte-t-il une satisfaction . En général l'occidental qui est englobé dans la masse ne sera pas artiste ça lui est refusé car seul le rendement compte dans la société. L'occidental devient un automate et pas dans un cadre de joie.
Le travail moderne est abstrait et automatique où chaque personne n'accomplit qu'un travail en miette. Le travailleur ne pense pas. Les ingénieurs pensent mais n'agissent pas. Il y a un vide donc le travailleur comblera ce vide dans un mouvement où il pourra s'exprimer concernant ses espérances.
Naissance des ateliers de bricolage car il y a plus de gens qui s'ennuyent et qui sont surmenés.
C'est une rupture culturelle.

Il y a encore peu de temps les hommes étaient moins instruits mais avaient de la personnalité.Ils étaient héritiers d'une culture et avaient du bon sens. Il pouvaient se passer d'instruction car ils étaient capables de porter un jugement de bon sens .

Actuellement on n'apprend plus à l'occidental de juger. Plus il sait moins il connaît.

Dans l'intérêt d'un groupe, il faut un instruction minimale et donner à l'adhérent une vision de synthèse globale du monde.A partir de cemoment il devient un public cible pour être le récepteur de la propagande.

La société sociale nous donne des droits sur la société. Et on arrive à une absence de société. Il n'y a plus de solidarité car l'homme est isolé. La conséquence de l'isolation de l'homme ce sera sa disponibilité à être réactif à toute sollicitation et il adhérera à une doctrine.

L'Europe déchristiannisée est la rupture des traditions basées sur notre civilisation judéo-chrétienne. Donc l'homme ne peut plus se référer à des mesures situées en dehors de lui.

Les Grecs et les Romains avaient dégagé l'individu de sa tribu le christiannisme avait dégagé l'homme avec l'amour du prochain.

Aujourd'hui tout le monde se fait sa propre notion du bien et du mal.

Aujourd'hui tout est désacralisé. Il est de bon ton de critiquer les valeurs traditionnelles et on n'éduque plus dans le sens du respect des valeurs.

Le besoin religieux est un besoin de l'âme. Donc si la religion ne peut plus nourrir l'âme, l'homme se tourne vers d'autres religions et il est séduit par un mouvement qui pourrait combler ce vide. L'homme désacralisé et déchristianisé se retrouve dans une vie sans orientation sans repères.
L'homme trouvera une religion qui prétendra donner un sens à sa vie.
La lutte devra non seulement donner une amélioration matérielle mais aussi spirituelle.

Le premier trait à étudier est le comportement de l'individu qui vit en groupe sans structure sociale.
C'est le nivellement des besoins , des goûts, des mœurs , des habitudes. C'est aussi la supression de l'individualité , le retour au troupeau de mouton. Le prototype est l'employé la classe moyenne.

Il n'y a plus de juges mais des magistrats, plus de soldats mais des militaires. Cela implique la médiocrité car l'ensemble exclut tout ce qui n'est pas comme elle. On ne vit plus de l'originalité de la pensée.

On ne se tourne plus vers certains modèles. On se tourne vers la médiocrité moyenne. Hier les valeurs étaient verticales aujourdh'ui elles sont horizontales.

L'imitation devient une force motrice. Elle prend sa source chez une connaissance . L'individu influence alors les autres.

L'occidental n'a plus le temps de lire, de réfléchir , de penser, il accepte donc toutes les idées faites et les idées suggérées. Il est orienté par la suggestion. Le fait d'appartenir à un groupe organisé fait de lui un être facilement influençable. On lui suggère alors la puissance pour l'inciter à agir.

L'homme ne pense plus que par des images. Cela s'oppose à la pensée qui s'exprime par des concepts. La forme imagée l'emporte sur l'écrit. Cela ne va qu'en se développant.
Les images vont se traduire par des slogans.

Si on ne lit plus c'est parce que on ne veut plus faire d'effort. Actuellement on ne montre et on ne démontre pas. C'est contre note civilisation, contre nature. Notre tradition est basée sur la raison, le dialogue, la confrontation d'idées.

L'individu va vouloir s'exprimer sur un plan supérieur. Il fait appel à un groupe qui lui exprimera de la chaleur humaine, et il va adhérer.C'est l'attirance religieuse.

C'est à ce moment qu'apparaissent les chefs . La conscience de l'individu disparaîtra au profit de la conscience du groupe. On fera en sorte que l'individu se croit indispensable et qu'il croit en sa propre importance. Il se croit puissant du fait du nombre.

L'individu ne retient plus les vraies valeurs, les modèles . Il retient les moyennes statistiques. Il refuse les valeurs occidentales ; la vie en elle même n'a plus de valeur, il recherchera seulement la conjoncture matérielle.

Il n'acceptera que l'amélioration de ce qui est immédiat.

La technique devient un idéal.Possibilité d'améliorer la vie et de posséder. Des objets que l'homme se passait bien il y a cent ans. L'homme devient esclave de ses conquêtes et des techniques qui lui sont utiles. C'est un transfert de valeurs . Certains films s'étonnent qu'une population puisse se battre pour une patrie , une nation, ou sa civilisation.

Notre société permet au pouvoir politique d'être nécessaire dans un accroissement totalitaire. La politique se fait devant la télévision ou sur la place publique.
En occident la guerre se place sur le plan de la civilisation et non plus sur le plan des nations. Il faut donc offrir un nouveau concept de défense pour nos jeunes.

L'homme n'est plus capable de vivre isolé. Il accepte la tyrannie d'un groupe si ce groupe lui procure une protection sociologique qui lui permette de soutenir son confort. La propagande est alors nécessaire.

Il faut donc ouvrir les yeux de la société pour ne pas que les individus soient séduits par la mystification islamiste.

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