mercredi 31 octobre 2012

Les Frères musulmans dans le poulailler de la CIA

(Traduit et adapté d’une analyse de John Guandolo, ex-agent du FBI, et spécialiste de l’organisation islamiste des Frères musulmans en Amérique.)
 
La présence d’agents des Frères musulmans, travaillant à l’intérieur du gouvernement fédéral, au cours de dernières années, vient d’être définitivement prouvée. Le noyautage de notre système de sécurité par les Frères musulmans est scandaleux, voire choquant, car il représente un danger immédiat pour les citoyens américains. L’influence de cette opération d’infiltration des Frères musulmans se manifeste via les implications nationales et mondiales, dangereuses pour la sécurité de l’Amérique et de ses citoyens.
En Juillet dernier, la CIA a organisé un programme de formation de deux jours en son siège à Langley, en Virginie intitulé « Atelier de lutte contre l’extrémisme violent pour la région de Washington ».
Etaient présents à ce séminaire, tous les responsables locaux, provinciaux et fédéraux des forces de l’ordre, et des forces militaires et des bureaux du renseignement de la région de Washington. En plus des membres de la haute direction de la CIA, le FBI et du DHS (Département de haute sécurité), des membres des Frères musulmans ont participé au programme de formation.
Parmi ces derniers, il y avait l’imam Magid Mohammed qui donna une conférence sur « Comment développer la confiance entre les communautés ».
Comment cet imam a-t-il été autorisé à prendre la parole au Siège de la CIA ? Et qui a vérifié son parcours ?
 
L’Imam Magid est le directeur exécutif du Centre d’ADAMS, une organisation de façade des Frères musulmans.
Il est également le président de la Société islamique d’Amérique du Nord (ISNA), la plus grande organisation des Frères musulmans aux États-Unis, qui s’est avérée être le soutien financier du Hamas lors du plus grand procès de l’histoire des Etats-Unis contre le plus important cas de financement du terrorisme depuis le 11.09.2001. (US vs. Holy Land Foundation, Dallas 2008). Cette ONG musulmane avait été accusée de financer le terrorisme islamiste. Plus de 57 millions de dollars ont été versés par la Holy Land Foundation au Hamas (terroristes islamiques) entre 1992 et 2001.
Dès lors, inviter Magid pour conseiller l’US Intelligence et enseigner l’application des lois aux officiels américains ne peut relever que de la folie suicidaire.
Selon certains responsables de Langley, prêts à prendre la parole sous couvert d’anonymat, c’est un scandale sans précédent, mais aucun des dirigeants internes ne semble saisir la gravité de la menace. Affirmer que le renard est dans le poulailler serait un euphémisme.
Mais la folie de l’Administration Obama ne s’arrête pas là.
L’Imam Mohammed Magid continue à être invité à la Maison Blanche, travaille avec le Conseil national de sécurité, conseille la Secrétaire d’Etat, participe comme consultant au groupe de travail du Département de la Sécurité Intérieure et il a même reçu un prix du FBI. Magid, chef de file de la plus grande organisation des Frères musulmans aux U.S.A., fidèle soutien financier du Hamas, continue à être considéré comme un ami par les dirigeants américains !
Une autre question devrait aussi être posée : qui a passé au crible les parcours des autres « leaders » de la communauté musulmane qui participaient au stage de formation au siège de la CIA ? Etaient-ils des Frères musulmans ou des sympathisants de la cause ?
Lorsque le leadership américain se fait conseiller et travaille en équipe avec des individus et des organisations, qui se sont révélés être hostiles aux Etats-Unis, il n’est pas étonnant que la fusillade à Fort Hood ait été qualifiée de « crime » par le FBI, et non d’acte de terrorisme, ni surprenant que cet attentat ait été inscrit comme acte de « violence au travail » par les fonctionnaires du Pentagone, lors de la rédaction des rapports relatifs à cet attentat.
Dès lors,
Il n’est pas non plus étonnant que le Département de Haute Sécurité et autres services de notre gouvernement aient qualifié la menace « d’extrémisme violent » (terme vide de sens) au lieu de la définir pour ce qu’elle est réellement : le jihad des Frères musulmans aux États-Unis, réseau de soutien aux terroristes.
Il n’est pas anormal que l’attaque militaire d’Al-Qaïda contre le consulat américain en Libye ait été justifié par l’administration Obama comme la conséquence dramatique de la diffusion d’une vidéo «offensante pour les musulmans» sur YouTube, en lieu et place de la vérité, faisant ainsi fi de l’héroïsme incroyable de ces hommes qui s’opposèrent à plus de 200 combattants d’Al-Qaïda pendant 6 heures.
Récemment, le tsar du contre-terrorisme, John Brennan, s’est moqué de l’idée que les Frères musulmans puissent avoir infiltré le gouvernement américain.
Quant J. Brennan sera-t-il considéré comme coupable d’avoir sciemment échoué dans l’accomplissement de son devoir, et d’avoir trahi son serment de loyauté envers la Constitution de son pays ?
Quand la Secrétaire d’Etat, les Directeurs de la CIA, du FBI et le Président des USA seront-ils jugés pour trahison ?
Le cœur même du département de la sécurité nationale des U.S.A. a été dangereusement noyauté et manipulé par une présence étrangère hostile. Cela signifie, sans l’ombre d’un doute, que d’importantes décisions de politique étrangère en rapport avec le monde islamique, non seulement n’atteindront pas leur but, mais serviront la cause de nos ennemis.
Nous pouvons juste espérer qu’une future Administration Romney prenne les décisions fermes et courageuses qui incombent afin de purger le gouvernement de ses ennemis et de tous ceux qui volontairement et inconsciemment les soutiennent.
© Rosaly pour www.Dreuz.info

 

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