vendredi 23 septembre 2016

Les prières des chrétiens provoquent les tempêtes : les passeurs musulmans les assassinent

Quand la haine coranique des chrétiens se marie à la superstition des fidèles d’Allah, c’est la mort assurée pour les chrétiens.


Deux passeurs musulmans sont actuellement jugés en Espagne. Ils sont accusés d’avoir torturé et noyé six chrétiens lors d’une traversée vers l’eldorado espagnol. Ces malheureux avaient confié leur espoir d’une vie meilleure à deux monstres.
Le 5 décembre 2014, la capitainerie espagnole d’Almeira récupéra 29 survivants à bord d’une embarcation de fortune. Sur ce rafiot de 10 m de long, sur lequel 50 migrants embarquèrent à Nador au Maroc, 21 passagers trouvèrent la mort au cours du voyage, parmi lesquels 7 enfants et 6 chrétiens, barbarement assassinés par la haine islamique.
Le « capitaine » camerounais, un certain Alain N.B. et son second auraient battu et jeté à l’eau 6 passagers chrétiens, persuadés que les tempêtes qu’ils durent essuyer au cours du périple furent provoquées par leurs prières adressées à Jésus !
Deux tempêtes et une mer déchaînée firent de ce voyage un véritable cauchemar.
Un prêtre catholique, présent à bord, invita les fidèles à se confier à Dieu et à Lui demander la grâce de les protéger, ainsi que les autres passagers. Ce cri de foi et d’espérance, à la fois humain et religieux, mit en colère les musulmans. Les deux passeurs camerounais, convaincus que le temps empirait à chaque prière des chrétiens, décidèrent de les tuer.
Les témoins du massacre décrivirent aux enquêteurs espagnols les tortures infligées aux chrétiens par les deux passeurs musulmans avant d’être jetés à la mer.
A la recherche de croix et autres symboles religieux chrétiens, les deux Camerounais se seraient servis de morceaux de bois arrachés au bateau pour les frapper violemment. Les malheureux furent ensuite noyés, car coupables de croire en Christ et de ne pas avoir invoqué Allah.
Le capitaine du rafiot, écrivit le procureur dans l’accusation publiée par The Telegraph, savait que les victimes, meurtries, affaiblies à cause des blessures infligées par les monstres, n’auraient pas pu survivre dans les eaux froides d’une mer déchaînée. Eloignées de la côte et en l’absence d’un éventuel bateau qui aurait pu les secourir, elles étaient vouées à une mort certaine.
Quand les deux Camerounais débarquèrent à Almeria, la police trouva sur eux environ 1 500 euros, la somme dérobée à leurs victimes avant de les sacrifier aux vagues en furie.
Le Premier ministre a requis une peine de 15 ans de prison pour chaque meurtre commis, délit aggravé par la motivation de haine religieuse. Le capitaine camerounais pourrait être condamné à 90 ans de prison. Son bras droit, décédé en Espagne avant le début du procès, échappera à la justice humaine, mais non à la justice divine.
Pour un Chrétien, confier sa vie à un passeur musulman, cela revient à demander à Sheitan de le protéger.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire