jeudi 25 avril 2013

Ne dites pas que les « coupeurs de route » de l’A13 sont noirs

On vient de juger les dix accusés de l’assassinat de Mohamed Laidouni sur l’autoroute A13 le 27 juin 2010, à la suite d’un banal accrochage.
La conductrice du véhicule responsable, non assuré, avait refusé d’établir un constat amiable et appelé à la rescousse ses copains de la cité voisine des Mureaux. Ils étaient venus en nombre. L’un avait déclaré : « Vous voulez faire les Français, vous êtes morts, ici on est chez nous ! » et « On va vous tuer, vous enterrer devant votre mère… » Ce qu’ils ont fait à coups de pied.
Quatre ont été condamnés pour « homicide volontaire » et trois pour « violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner » à des peines allant de cinq à vingt ans de prison. La conductrice a écopé de quatre ans.
Mais avez-vous lu dans les grands médias qu’il s’agissait de « subsahariens », pour certains issus de familles polygames ? Avez-vous vu quelque part les noms des coupables ?
Nous en sommes là. Des « coupeurs de route », comme en Côte d’Ivoire, ont colonisé des cités. Et ne supportent pas qu’on y intervienne. Rappelez-vous les « attaques de diligence » de Grigny… où il n’y a pas de coupable.
Quant aux médias, c’est simple : ils occultent systématiquement le caractère racial et culturel de ces exactions. Dormez, braves gens, l’ordre règne !
François
Jourdier

Contre-amiral (2S), ingénieur en énergie nucléaire.
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