samedi 27 avril 2013

Obama et Clinton reconnus coupables de fraude électorale par un jury de l’Indiana


Un jury de South Bend, Indiana, a confirmé que suite à une fraude électorale, le président Obama et Hillary Clinton ont pu se présenter à la primaire présidentielle dans l’Indiana en 2008.
Deux Démocrates ont été condamnés jeudi soir pour fraude après seulement trois heures de délibérations. Ils ont été reconnus coupables de tous les chefs d’accusations.
Butch Morgan Jr., président du parti Démocrate pour le comté St. Joseph, a été reconnu coupable des chefs d’accusation de fraude et falsification de pétitions, et l’ancien conseil aux élections du comté, Dustin Blythe, a été reconnu coupable des chefs d’accusation de falsification et fabrication de fausses pétitions, après avoir été accusé d’avoir truqué les pétitions qui ont permis à Obama, alors sénateur de l’Illinois, d’être inscrit sur le bulletin de vote de la primaire présidentielle pour sa première course à la Maison Blanche.
Butch Morgan Jr. a été accusé d’être le cerveau derrière la machination.
Selon le témoignage de deux anciens agents électoraux qui ont plaidé coupable, Morgan a ordonné aux fonctionnaires d’inscrire des noms avec des fausses signatures pour qu’Obama et Clinton puissent se qualifier pour la course à la présidentielle.
Dustin Blythe a ainsi été accusé d’avoir triché sur plusieurs pages de pétitions pour Obama.
« Je pense que cette décision contribue à maintenir l’intégrité du système électoral » a déclaré le procureur, Stan Levco, aux journalistes, ajoutant que « le verdict de culpabilité n’est pas un verdict contre les démocrates, mais pour des élections honnêtes et équitables ».
Le cours de l’histoire était entre les mains d’un homme qui a eu peur…
L’affaire a commencé en Janvier 2008. Un ancien employé du comité des inscriptions, Lucas Burkett, a découvert la fraude, dès le début, mais il a commencé à être inquiet et a démissionné.
Il a attendu trois ans avant de raconter son histoire aux autorités, et si ses révélations sur les falsifications avaient été soulevées à temps, les pétitions auraient été contestées, et ni Obama ni Clinton n’auraient été qualifiés pour l’élection.
Concernant Obama, « je pense que si la contestation avait abouti, son nom n’aurait probablement jamais été sur un bulletin de vote », a déclaré le procureur Stan Levco à Fox News.
Selon la loi de l’Indiana, les candidats à la présidence doivent se qualifier pour les primaires avec 500 signatures dans chacun des neuf districts du Congrès de l’Etat.
Obama a obtenu 534 signatures, Clinton 704.
Selon les procureurs, dans le cas du président Obama, 9 pages de pétition ont été falsifiées. Chaque page contenant jusqu’à 10 noms, c’est donc un total de 90 noms, qui, s’ils n’avaient pas été truqués, auraient réduit le total de signatures pour Obama en dessous de la limite légale nécessaire pour se qualifier.
Les procureurs ont constaté que dans le cas de Clinton, 13 pétitions ont été falsifiées, ce qui signifie qu’il y a eu jusqu’à 130 fausses signatures. Même si 130 signatures avaient été remises en cause, Mme Clinton avait suffisamment de signatures pour atteindre le seuil de 500.
Selon un enquêteur de police de l’État d’Indiana, l’agence a examiné les pétitions suspectes et a pris « des noms au hasard dans chacune des pages de la pétition, et a contacté directement les personnes. »
Nous avons trouvé au moins une personne (et souvent plusieurs) sur chaque page, qui a confirmé n’avoir jamais signé, ni donné son consentement, ni son nom, ni sa signature ».
« Ce n’est pas ma signature ! » a déclaré Charity Rorie, une mère de quatre enfants, quand nous lui avons montré sa signature sous la pétition pour Obama. Elle était stupéfaite, et a déclaré qu’il s’agissait «absolument» d’un faux.
Charity déclaré à Fox News que la signature de son mari était également un faux, et qu’ils n’ont jamais été contactés par des enquêteurs.
« C’est effrayant, c’est choquant. C’est absolument illégal !», s’est-elle écrié.
Robert Hunter, Jr. a déclaré à Fox news que son nom a été  également truqué. « Je n’ai pas signé pour Barack Obama » a t-il dit.
Un ancien gouverneur démocrate de l’Indiana, Joe Kernan, a déclaré à Fox News que son nom a été aussi trafiqué.
Ryan Nees, de l’université de Yale, a été le premier à exposer la tricherie. Il a déclaré que ces condamnations sont « amères, car cinq personnes ont réussi à placer illégalement deux candidats sur le bulletin de vote à la présidentielle, et douces car ils ont été confondus, jugés pour leurs crimes, et condamnés. »
© Albert Bertold pour www.Dreuz.info

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