jeudi 28 février 2013

GB : une université de Londres ferme la salle de prière musulmane pour cause d'extrémisme

Il est temps que les universités partout en Occident réagissent face à la propagation d'une théologie barbare sur les campus, qui justifie ce genre d'atrocités :
Charia-amputation_________________________
Un groupe d’étudiants musulmans accuse la City University de Londres de discrimination pour avoir fermé la salle dédiée à la prière du vendredi.
Gb-wasif-sheikhUn groupe d'étudiants a formé Muslim Voices on Campus (voix musulmanes sur le campus) et demandé à l’Université de revenir sur sa décision. Le groupe se plaint d’avoir été «injustement ciblé». L’Université a pris sa décision après que les étudiants ont refusé de l''informer au préalable du contenu des sermons pour fin de vérification de leur caractère «approprié».
Le responsable du groupe, Wasif Cheikh [image], a déclaré : «Nous nous sentons injustement ciblés. Tous nos sermons sont ouverts, nous accueillons tous les étudiants et membres du personnel. Mais quand on commence à soumettre nos sermons pour vérification, il y a des chances qu’on se fasse dicter ce qui est permis ou interdit. Pour nous, en tant qu’étudiants, c’est inacceptable».
Il y a trois ans, la fondation Quilliam, qui lutte contre le radicalisme, a publié un rapport sur les sermons du vendredi à la City University de Londres. Selon le rapport, des vues radicales et une atmosphère de confrontation sont encouragées. Dans un sermon qui a été enregistré, le prédicateur a dit :«L’état islamique enseigne qu’il faut amputer la main des voleurs. Oui, il enseigne cela. Et il enseigne également qu’il faut lapider les adultères. En nous disant cela, l’état islamique nous dit et nous enseigne de tuer les apostats, oui il enseigne cela».
De nombreuses universités sont confrontées au défi de savoir comment gérer une menace potentielle sans brimer la liberté d’expression. Dans un communiqué, l’Université explique qu’elle voulait s’assurer que les sermons autorisés sur le campus étaient «appropriés», ajoutant que «l'Université ne pouvait pas continuer de cautionner une activité se déroulant dans ses locaux sans exercer une supervision raisonnable». L’Université a en outre suggéré aux étudiants un certain nombre d’endroits situés à proximité du campus où ils pourront prier.

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