vendredi 22 février 2013

Mahomet n’est décidément pas un exemple

Pascal
Hilout
Rédacteur à Riposte Laïque.

 
Le 5 février 2013, Le Monde a publié un long article intitulé : « Et si l’intervention au Mali ouvrait la porte des réformateurs en islam. » Il est signé Michel Rocard. Je voudrais lui répondre.
Jeune mariée, ma mère était intégralement voilée. L’horreur ! À l’âge de cinq ans, mes parents me mirent à l’école coranique. Le Coran, je l’ai étudié aussi bien en arabe, en français qu’en allemand. La vie de Mahomet, telle que racontée par des historiens musulmans, m’est donc familière. Et cette fréquentation assidue, depuis soixante ans, a fini par me convaincre que la vénération inconditionnelle du Coran et de Mahomet handicapait lourdement les musulmans.
Réformer l’islam ne peut se faire sans remettre en question la violence et la ségrégation qui le fondent. Les représentants officiels de l’islam en France doivent déclarer caducs les versets coraniques qui ne témoignent d’aucun respect pour les juifs, pour les chrétiens et pour ceux considérés comme des « mécréants ». Le Coran véhicule une idée exécrable des femmes. Mahomet en a d’ailleurs épousé sans compter. Un abus de pouvoir légué à tous les riches et puissants musulmans. Un verset coranique interdit à ses neuf veuves de se remarier.
Nous n’avons donc pas le droit de laisser enseigner le Coran tel qu’il est à nos futures générations. Il prescrit le qitâl (du verbe qatala = tuer). Mahomet l’a pratiqué avec ses razzias, sabre à la main. Il doit être montré du doigt au même titre que tout jihadiste. On ne sort jamais indemne d’un enseignement qui sacralise la violence, la misogynie, la discrimination et la haine des autres.
Aussi, je le répète, nos responsables doivent demander officiellement aux représentants du CFCM (Conseil français du culte musulman) d’élaguer sérieusement ce qu’ils diffusent, au quotidien et à longueur d’années dans toutes les mosquées et les centres « culturels » islamiques. Ils doivent aussi dénoncer et lever l’interdit fait à nos voisines musulmanes d’épouser des juifs, des chrétiens ou des non-croyants. Le maintien de la capacité de la France à faire de tous des citoyens à part entière est à ce prix. Et ne peut être négocié.
Aux musulmans, je propose de commencer par aimer la vie… L’humanité vous le rendra bien !
Pascal Hilout, le 22 février 2013

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