lundi 7 octobre 2013

Pakistan : trafic d’organes sur les victimes chrétiennes des attentats islamistes

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Après l’attentat islamiste contre l’Eglise de Tous les Saints, à Peshawar, des rapports font état de la disparition de 18 enfants et de 13 petites filles âgées de 13 à 17 ans. Ces enfants ne sont jamais arrivés à l’hôpital.
Sont-ils tombés entre les mains des trafiquants d’organes, ou vont-ils servir d’esclaves sexuels à quelques pieux et riches musulmans ? L’islam, rappelons-le, autorise le rapt d’enfants non musulmans.
Selon l’Agenzia Fidesl’agence d’information des Œuvres Pontificales Missionnaires, après les terribles attentats contre l’Eglise de Tous les Saints de Peshawar, l’horreur a succédé à la tragédie.
Les Chrétiens, horrifiés par la nouvelle répandue par des ONG civiles pakistanaise, ont appris que les attentats sont liés à un trafic d’organes.
Des ambulanciers locaux, bien surnommés « les chacals » ont profité du drame pour faire disparaître un grand nombre de morts et de blessés, afin de leur prélever des organes et alimenter un très florissant commerce illégal d’organes, une véritable pandémie au Pakistan.
« Si cela devait s’avérer exact, cela signifierait que ces criminels profitent de la souffrance des victimes chrétiennes d’une manière sacrilège et blasphématoire » a déclaré un prêtre de Karachi, Frère Mario Rodriguez. « Nous demandons à la police d’enquêter sérieusement ».
Le Pakistan a été contraint, en 2010, d’édicter une loi pour réglementer les transplantations d’organes, afin de se débarrasser de sa sinistre réputation de pays leader dans le « tourisme de la transplantation », et pour tenter d’arrêter les trafics illégaux d’organes humains.
Après la promulgation de la loi, le trafic illégal a légèrement diminué, mais en 2011, de nombreux cas de transplantations illégales firent à nouveau leur apparition. En juillet dernier, suite à la recrudescence de ce trafic immonde, la Cour Suprême a émis des directives et demandé au gouvernement provincial de prendre les mesures adéquates pour faire respecter la loi.
Selon les enquêtes de police, 42 établissements médicaux engagés dans les transplantations illégales d’organes ont été identifiés dans le Pendjab.
 
Plus proche de nous, des Serbes recherchent toujours les membres de leur famille, victimes des trafiquants d’organes de l’UCK, actuellement au pouvoir au Kosovo. (A ce propos, le lecteur pourra prendre connaissance du rapport sur le trafic d’organes présenté par le député suisse Dick Marty, en décembre 2010, devant le Conseil de l’Europe.)
Aujourd’hui, au Kosovo à majorité musulmane, les minorités chrétiennes sont persécutées. En avril dernier, Amnesty International livrait un rapport accablant : « Les membres des communautés minoritaires encourent toujours le risque d’être tués ou agressés pour des motifs ethniques. » L’ONG y relevait l’impunité quasi totale dont bénéficient les auteurs des crimes, confortant la population dans son sentiment que les coupables demeurent libres de commettre de nouvelles agressions, ce qui entretient un climat de peur.
Selon Al Arabyia, les meurtriers jihadistes d’al-Shabaab promettent des « lendemains qui chantent » aux Kenyans et ont déclaré : « Au nom de l’islam, nous frapperons les Kenyans là où cela fait le plus mal, nous transformerons leurs villes en cimetière et des rivières de sang couleront à Nairobi. »
Heureusement que l’islam est une religion de douceur, de paix, de fraternité, de respect de la dignité humaine, sans quoi …
© Rosaly pour www.Dreuz.info
 

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