vendredi 23 août 2013

Le frère d’Obama : un dirigeant des Frères Musulmans?

S’exprimant récemment sur  Bitna al-Kibir, une emission TV en direct, Tahani al-Gebali, la Vice Présidente de la Cour Suprême Constitutionnelle d’Egypte, a dit que le temps allait venir où toutes les conspirations contre l’Egypte seraient mises en lumière – conspirations qui expliquent pourquoi l’administration Obama s’est montrée si ardent partisan de la Confrérie islamique dont le terrorisme a – parmi d’autres atrocités – provoqué la destruction de quelque 80 églises chrétiennes en moins d’une semaine.
Al-Gebali a fait référence à des “documents et preuves” [documents and proofs”] que les agences de renseignements égyptiennes possèdent et au fait que  « le temps de leur révélation au grand jour approche ». Au cours de la discussion sur le fait que ces documents contiennent des extraits d’échanges financiers massifs entre des instances internationales et les Frères Musulmans, elle a dit : « Le frère d’Obama est l’un des  architectes des investissements pour le compte de  l’organisation internationale des Frères Musulmans. »
A ce moment là, l’animateur embarrassé l’interrompit et lui demanda de répéter ce qu’elle venait de dire, ce qu’elle fit, en toute confiance, ajoutant: « Si cela s’avère nécessaire, il faudra tenir le peuple informé » – faisant apparemment référence à l’appui d’Obama en faveur des Frères Musulmans contre l’état égyptien, avec pour conséquence le fait que les responsables égyptiens ont fait le pari de vendre la mèche quant à la véritable nature des relations entre les Etats-Unis, la Confrérie et l’Egypte.
Elle n’a pas précisé auquel frère du président il était fait allusion mais, il avait déjà été révélé que son frère, Malik Obama dirigeait une organisation caritative africaine à but non-lucratif très liée à la Confrérie et au terroriste génocidaire du Soudan, Omar al-Bashir. [but earlier it was revealed]

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=_tXobwywmXE

Sources : FrontPagemag – 22 août  2013 – par  Raymond Ibrahim  – Traduction Nancy Verdier

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