lundi 31 octobre 2011

Le saviez vous?


N’ayons pas peur des mots ! Sans minimiser les crimes de la papauté pendant presque 2000 ans et ils sont légion, l’horreur du nazisme et celle du communisme, il apparaît que le Djihad islamique est ce qui a produit et continue de produire le plus grand nombre de sacrifices humains. Une religion mortifère préchée par un bédouin du VIIè siècle et qui continue, 14 siècles plus tard, à faire des ravages.
Ces chiffres sont une estimation approximative de la mort des non-musulmans par l’acte politique du jihad.
par Nawal (نوال)
L’Afrique
Thomas Sowell [Thomas Sowell, Race et culture, BasicBooks, 1994, p. 188] estime que 11 millions d’esclaves ont été embarqués à travers l’Atlantique et 14 millions ont été envoyés aux nations islamiques d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.
Pour chaque esclave capturé beaucoup d’autres sont morts. Les estimations de ce dommage collatéral varient.
Le célèbre missionnaire David Livingstone estime que pour chaque esclave qui a atteint une plantation, cinq autres ont été tués dans le raid initial ou sont morts de maladie et de privations.Presbytérienne Woman [Le Conseil d'Missions, David Livingstone, p. 62, 1888]
Ceux qui ont été laissé derrière eux ont été de  très jeunes enfants, les faibles, les malades et les vieux.
Ainsi, pour 25 millions d’esclaves livrés au marché, nous avons une mort estimée à environ 120 millions de personnes.
L’Islam est responsable, en très grande partie, du commerce de gros des esclaves en Afrique.
120 000 000 d’Africains
Chrétiens
Le nombre de chrétiens martyrisés par l’Islam est de 9 millions environ [David B. Barrett, Todd M. Johnson, Christian World Tendances AD 30 AD 2200, William Carey Library, 2001, p. 230, tableau 4-10].
Une estimation approximative de Raphaël Moore sur l’Histoire de l’Asie Mineure, souligne  que 50 autres millions sont morts dans des guerres par le jihad.
En comptant  les millions de chrétiens africains tués durant le 20ème siècle, nous avons:
60 millions de chrétiens
Hindous
Koenard Elst en Inde donne une estimation de 80 millions d’hindous tués au total par le  jihad contre l’Inde.[Koenard Elst, le négationnisme en Inde, la Voix de l'Inde, New Delhi, 2002, pg. 34.]
L’Inde d’aujourd’hui n’est que la moitié de la taille de l’Inde ancienne, en raison de djihad. Les montagnes près de l’Inde sont appelés  l’Hindu Kush, qui signifie le « bûcher des hindous. »
80 000000 d’hindous
Bouddhistes
Gardez à l’esprit que dans le djihad, les chrétiens et les juifs étaient autorisés à survivre en tant que dhimmis alors que les polytheistes et autres, c’est à dire ceux qui ne sont pas appelés les « gens du livre » devaient se convertir ou mourir. Le Jihad a tué des bouddhistes en Turquie, en Afghanistan, le long de la Route de la Soie, et en Inde. Le total est d’environ 10 millions [David B. Barrett, Todd M. Johnson, Christian World Tendances AD 30 AD 2200, William Carey Library, 2001, p. 230, tableau 4-1.]
10 000000 bouddhistes
Juifs
Il n’y avait pas assez de Juifs à tuér dans le jihad pour affecter significativement les totaux de l’anéantissement..Le djihad en Arabie a été 100 pour cent efficace, mais les chiffres se comptent en milliers et non en millions.
Après cela, les Juifs ont été soumis et sont devenus des dhimmis et des citoyens de seconde classe
Cela donne une estimation approximative de 270 millions de juifs  tués par le djihad.
Traité pratique du Jihad
Cette partie va traiter d’une question assez peu mise en lumière: la façon de faire la guerre selon les principes mohammédiens. Le spectre ira depuis les armes répertoriées, les véritables outils de la politique jusqu’aux réglementations casuistiques les plus échevelées.
La question a été peu traitée, pour une mauvaise et une bonne raison. La mauvaise est la volonté de ne pas stigmatiser, comme toujours: depuis longtemps, une nuée d’irresponsables tentent d’imposer l’image d’un islamisme christianomorphe, né de l’apostolat pacifique d’un Jésus arabe, entouré par de gentils compagnons. Bien entendu, les sources islamiques ne prêchent pas la même parole, et insistent au contraire sur la violence constante et extrême de l’aventure, qui pousse parfois vers l’atroce et le sadisme, comme nous le montrerons dans de nombreux documents. L’autre raison, celle-ci, est bonne, et n’est pas causée par la crainte: les documents datent d’une période très postérieure, dans laquelle les usages et pratiques de la guerre ont radicalement changé. Certes le Coran peut aussi être utilisé comme source, plus proche des événements, ou même antérieurs à ceux-ci. Derrière la rhétorique guerrière se trouvent des allusions aussi à la façon de combattre, quelques indices utiles.
Le niveau de violence réelle est une question qui taraude l’observateur. Comment expliquer ce délice qu’ont les textes à décrire la violence, les meurtres, les plus horreurs? S’ils s’y prêtent, le public n’y est pas insensible non plus, mais rien ne confirme que les comportements de l’époque aient été aussi brutaux, souvent hors des normes du début du VIIème siècle, qui pouvaient être fort rudes. Les conflits entre Byzantins et Perses servent de repères.
La lecture des sources islamiques disponibles, celles, nombreuses et prolixes, traitant de la violence, est très indigeste et pénible. L’abondance de faits et de détails dans les faits laisse perplexe, et doit attiser le sens critique. La complaisance envers la violence, et, à de rares exceptions près, l’absence de sentiments de pitié, laissent pantois. Se pose alors la question de la réalité du degré de violence. N’y a t-il pas eu une sorte d’inflation dans le discours, de délire verbal, de production incontrôlée ?  Deux bornes du sujet permettent de douter de ces récits dégoulinants. D’une part, on l’a vu, le type de guerre tribale pré-islamique, au niveau de brutalité faible, fait saigner peu, mais chanter beaucoup. D’autre part, les sources archéologiques disponibles hors d’Arabie, sur les théâtres d’opération des armées arabes après 632, ne laissent pas apparaître de traces de destruction massive, de « violent conquest model ».[1] La transformation de la région de Syrie semble progressive, même si les textes chrétiens insistent sur les contrecoups sanglants.
Si la thèse d’une violence largement fictive s’impose -ce qui n’est pas encore évident- , ceci ne dédouane pas l’islamisme, qui ainsi, pourrait se refaire une virginité indue, se refaire un hymen percé, par une forme d’opération scientifique. Hélas non, car la masse documentaire de faits abominables est devenu fait historique à part entière, depuis sa création, deux ou trois siècles après Muhammad, et elle est restée une source constante et incontestée d’inspiration de la psychè islamique pour le reste des siècles.
La piste la plus solide, et à défaut de mieux, consiste à concevoir cette masse immense de récits comme un recueil pédagogique : une suite d’exempla, de modèles de comportements. La thèse est confirmée par l’analyse qui peut se faire des batailles elles-mêmes, qui sont à la fin des archétypes de toutes les confrontations guerrières que des troupes musulmanes pourraient avoir à assumer pour la suite des temps.
Les batailles, donc, sont des formes plus que des réalités. Chacune correspond à des schémas pré-établis, etdont le but est de fournir aux unités musulmanes du futur des catégories de raisonnement, modulables selon les réalités du temps. Chaque bataille a donc sa particularité et elle devient une norme, puisque le pieux musulman ne peut vivre sans norme qu’il s’impose, jusqu’ici, dans son rôle le plus gratifiant, celui du guerrier. Bien entendu, chez les infidèles, la norme est méconnue, et nous voulons oeuvrer pour que les augustes batailles, qui pour certaines auraient leurs traces dans le Coran lui-même, soient mieux connues, en dehors des cercles jihadistes ou piétistes.
Si l’on veut tenter une synthèse, disons que  la conception de la guerre possède des traits tout à fait moderne, mais d’une modernité dont personne ne devrait pas tirer gloire. Résumons donc ses caractéristiques: elle est globale, et concerne toutes les activités humaines. Elle est sans limite, dans tous les domaines, d’abord dans l’espace. Ce sont des conceptions impérialistes  trouveraient aisément leur source dans les idéologies byzantine et perse:  ainsi, le but de la lutte est la domination universelle, sans autre terme ou finalité. Inutile d’ajouter que selon ces principes, il ne peut y avoir non plus de limite chronologique aux combats: cette Histoire est sainte, en plus d’être militaire, et tout épisode ne peut être qu’une étape des progrès de la religion et de la soumission. Enfin, sur un plan plus moral,  et le sujet aura de multiples et terribles conséquences, la guerre est vue comme une activité immorale, ou amorale, en dépit des innombrables décrets pris pour la réglementer. Il s’agit ni plus ni moins de cynisque, et de mise à disposition de tous les moyens pour vaincre. En soi, cela ne surprend pas de la chose militaire. La chance est qu’ici tout est méticuleusement mentionné. Si parfois, des mesures paraissent motivées par le souci de l’Humain, une stricte analyse prouve vite qu’il n’en est rien. Le but essentiel reste le bien-être des musulmans, masculins et guerriers, et au-delà, la satisfaction de leurs chefs, et au-delà encore, la gloire de leur divinité. Les Assyriens y auraient retrouvé leur compte.
Pour conclure, la masse documentaire tente de présenter l’ensemble des cas possibles, pour que là encore, l’orthopraxie, l’imitation et l’inspiration conformiste puisse rassurer les guerriers musulmans.
1. Nakhla
Nakhla est le théâtre d’une embuscade minuscule, mais aux conséquences incalculables. A la suite d’une initiative individuel, des musulmans assassinent, et commettent un sacrilège. La nouveauté est d’ordre théologique. Muhammad compose une révélation ad hoc, qui permet de mettre l’intérêt de l’islamisme au dessus de toute autre considération. En d’autres termes, tout est permis, qui se justifie de manière exclusive par son efficacité au service de la cause.  C’est une rupture fondatrice, qui rappelle un peu les principes de la guerre révolutionnaire mis en place par Mao-tse-Dong.
2. Badr 
Badr est encore une affaire d’embuscades, motivée clairement par l’appât du gain, mais aussi par la vengeance. C’est le premier enseignement: la question financière est centrale, déjà. Il est licite de guerroyer pour en obtenir des avantages matériels. Mais il n’y a pas que cela, bien entendu. L’idée est de montrer surtout qu’il faut profiter de la moindre occasion, et donc, l’activisme, le militantisme, même dans les petites choses, est encouragé: car personne ne sait si une petite affaire peut devenir un grand événement. De plus, l’idée est celle aussi du miracle, qui, par delà la disproportion des forces, amène la victoire au camp le plus faible. Un théologien de base aura trouvé très vite tout l’intérêt à présenter les choses ainsi: la théophanie, l’intervention divine est alors mise en scène et en valeur.
3. Ohod
Il fallait bien aussi quelques défaites, pour correspondre à la gamme des possibles. Mais la théologie aime aussi les défaites, qui remettent l’humain à sa place, dans son rapport avec le divin, ou le surhumain. Le leçon n’est guère originale: toute la faute est dans le comportement de certains, qui n’ont pas obéi, et qui par leur faute ont compromis le succès prévisible. Ohod est l’occasion de serrer les rangs et les dents, depuis la bataille jusqu’au moment où le récit de la bataille est partout répandu. La discipline fait la force des armées, semble nous dire la défaite. Mais elle est ensuite tournée en victoire, par le comportement agressif et compulsif du chef, et ainsi, par le terrorisme, la manipulation de la peur de l’adversaire, l’autorité prophétique est rétablie. Ajoutons que celle-ci a souffert, à travers le corps de son dépositaire, comme s’il lui fallait faire le sacrifice d’un peu de sang versé, et même d’une dent cassée.
4. La tranchée
La bataille étrange de la tranchée, ou du fossé, correspond à une phase défensive, à une sorte de siège de Médine par les Mecquois et les autres Arabes, qui commencent à prendre conscience que réside la bête toujours féconde. L’affaire illustre ce que peut être un affrontement sans combat. Elle enseigne une vertu cardinale de l’islamisme, la patience, pour consister à ne pas désespérer avant d’atteindre le but qui est fixé.
L’association avec la diplomatie, les manipulations psychologiques, les manoeuvres secrètes sont aussi la nouveauté de l’épisode: on y apprend  qu’il vaut mieux ne pas combattre sur un seul front, mais sur plusieurs, et si l’on est sur la défensive sur le front principale, qu’il faut alors progresser sur les autres fronts.
5. Hudaybiyya
En apparence, rien n’est guerrier, puisque c’est le moment d’établir une trêve entre Muhammad et sa cité d’origine. Ce que nous apprend Hudaybiyya, c’est l’idée de combinaison entre négociations pacifiques et pressions violentes, qui aboutissent à une solution forcément favorable au camp en position de force, soit celui des musulmans. Il n’y a donc jamais de relation égale, et la trêve est alors la manifestation d’une puissance, et un pas de plus vers sa victoire. Si la partie adverse n’a pas connaissance de la doctrine, elle est vouée à la déchéance.
6. Khaybar
Là, disons que ce n’est pas la façon de combattre qui importe, mais la nature de l’adversaire. Depuis 1300, Khaybar est l’archétype de la victoire sur les juifs, et le retentissement de la bataille est encore plus fort depuis la fondation de l’Etat d’Israël? Dès lors, le nom de Khaybar est éructé dans les slogans et les chansons. L’essentiel des enseignements concerne les suites des combats, la manière de gérer le butin, les captives, etc…
7. La Mecque
Le Succès par excellence s’est obtenu presque sans combats. Certes, selon la documentation, quelques escarmouches ont eu lieu, et les Mecquois ne se sont pas rendus sans quelque baroud d’honneur.L’enseignement est celui-ci: une victoire peut s’obtenir en épuisant nerveusement et moralement l’adversaire, qui à la fin se trouve dépourvu de toute capacité de réaction. L’effet s’obtient par le militantisme, l’activisme, la réactivité. Cela se résume par un mot à la mode dans les années 1960, la subversion. La Mecque a été subvertie avant d’être conquise. La leçon mérite d’être rappelée, car de nos jours, l’idée de bon nombre de mouvements islamistes politiques est que les adversaires occidentaux doivent être vaincus d’abord dans leur esprit, leur culture, leurs références, par l’intimidation, la modification de leur identité et la tromperie: l’issue serait moins aléatoire que celle d’un affrontement militaire. Cette mentalité est associée à un préalable: le mépris absolu pour l’ennemi, et une condescendance permanente, pour ceux qui sont infidèles, impies, impurs.
8. Honayn
La bataille, cette fois, a été dure; par la manière dont elle est conté, l’impression qui en ressort est celle presque d’une vraie confrontation, et non d’un archétype. L’action est brouillonne, les ennemis sont décidés, et presque admirés. Longtemps, les musulmans subissent, et s’ils l’emportent, les sources mettent le retournement sur le compte de l’attitude de leur chef. Voilà l’enseignement principal: ne pas désespérer dans une situation désespérée, et garder confiance dans son chef de guerre, qui trouvera la solution adéquate.
A partir d’Honayn, les combats changent d’allure, et ils commencent à avoir les caractères de l’historicité.
9. Muta.
Puisque des sources byzantines retranscrivent plus ou moins l’épisode, il a toutes les chances d’être véridique. Le fait que Muta soit une défaite ajoute à la vraisemblance. Une défaite donc, mais cette fois-ci, sans l’explication théologique habituelle. Les causes de l’échec sont présentées de deux façons, la première explicite, la seconde implicite. On insiste d’abord, vieux truc, sur la disproportion des troupes, quoi que cela semble très excessif. L’autre cause est celle de la division du commandement, distribué à quatre chefs. L’erreur est celle de Muhammad, mais il ne faut pas l’écrire trop fort. Ainsi, la doctrine s’enrichit d’un conseil de plus: ne pas émietter l’autorité sur les troupes.
Par chance, la retraite est effectuée par celui qui sera le fer de la lance, et la lame du sabre des conquêtes futures. Elle est décrite en détail, comme si même dans la défaite, la limitation des pertes était une victoire.Cela est tout à fait exact, et souvent les conditions de la victoire réside dans la capacité à ne pas trop perdre au moment de la défaite.
10.  Tabuk
Les opérations sont de plus en plus véridiques, et sortent largement du cadre héroïque ou théologique. D’une certaine manière Tabuk correspond à un contre-exemple plutôt qu’à un modèle. L’expédition a un fondement pédagogique évident: par l’exemple, la mise en place de troupes trop volumineuses est réprouvée, et les petites unités mobiles et motivées leur sont préférées. En fait,  l’exemplarité de Tabuk se retrouve dans le corpus coranique, dans la législation précise qui concerne les participants aux raids, motivés par le pillage: on tente  de règler la question des dispenses, de la démotivation des participants, et de la possibilité de substitution du guerrier par un autre élément.
Rappel – La législation internationale sur les crimes contre l’humanité et crimes de guerre.
Le « Statut 11″ de la Cour Pénale Internationale de la Haye, qui fournit un catalogue utile de toutes les actions entreprises sous l’autorité de Muhammad en Arabie:
1-le meurtre, à savoir l’homicide volontaire ;
2-l’extermination, à savoir l’homicide volontaire sur une grande échelle de membres de certains groupes, et notamment le fait de priver intentionnellement des individus de nourriture ou de médicaments pour entraîner la destruction d’une partie de la population ;
3-la réduction en esclavage, à savoir le fait d’exercer sur une personne un pouvoir lié au droit de propriété, notamment la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants ;
4-la déportation ou le transfert forcé de population, à savoir le fait d’expulser des personnes de la région où elles se trouvent légalement, sans motifs admis en droit international. La déportation comprend le passage des frontières nationales et le déplacement forcé à l’intérieur des frontières d’un État;
5-l’emprisonnement ou autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;
6-la torture, à savoir le fait d’infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, à une personne se trouvant sous la garde de l’accusé ou sous son contrôle ;
7-le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable. Le viol et les autres formes de violence sexuelle peuvent également constituer d’autres crimes relevant de la compétence de la Cour pénale internationale, par exemple les actes de torture constituent un crime contre l’humanité ou un crime de guerre ;
8-la persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout crime relevant de la compétence de la Cour, à savoir le déni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs liés à l’identité du groupe ou de la collectivité qui en fait l’objet, et en corrélation avec un autre acte constituant un crime comme l’humanité, un crime de guerre ou un acte de génocide ;
9-la disparition forcée, à savoir l’arrestation, la détention ou l’enlèvement de personnes par un État ou une organisation politique ou avec l’autorisation, l’appui ou l’assentiment de cet État ou de cette organisation, qui refuse ensuite d’admettre que ces personnes sont privées de liberté ou de révéler le sort réservé aux “disparus” dans l’intention de les soustraire à la protection de la loi pendant une période prolongée ;
10-le crime d’apartheid, à savoir des actes inhumains commis dans le cadre d’un régime institutionnalisé d’oppression systématique et de domination d’un groupe racial sur tout autre groupe racial et dans l’intention de maintenir ce régime ;
11-les autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale, à savoir des actes inhumains d’une gravité similaire à celle d’autres crimes contre l’humanité.

[1] F. Donner, Muhammad and the Believers, Cambridge (Mass.), 2010, p. 107.  Il ne faudrait pas imaginer pour autant que les restes matériels sont la donnée centrale. Elle doit confirmer un moment et une situation précises. La doctrine guerrière fondée sur le Coran et sur la Tradition, reste absolument agressive, même si dans l’immédiat après-Muhammad, elle ne laisse pas de traces. Par la suite, dans la suite de l’expansion, les dommages sont bien réels, et visibles.source

La chronique  de Nawal (نوال) pour Israël-flash
Nawal est née au Liban, et vit actuellement au Canada avec son petit-ami chrétien. Elle est musulmane et a fui sa famille de peur d’être la victime d’un « crime d’honneur ». Elle relèvera pour Israël-flash des choniques et des informations sur ce qu’elle appelle désormais -La religion « de la haine et du meurtre ».
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