dimanche 27 janvier 2013

Le voile descend, il nous recouvre tous peu à peu, par Mark Steyn


Mark Steyn a été poursuivi devant trois commissions des droits de la personne au Canada pour islamophobie suite à la parution de son livre America Alone dans lequel il parle de l'islamisation de l'Europe comme conséquence de son évolution démographique. Toutes les plaintes ont été rejetées.
Dans cet article, il décrit des faits confirmant le message de son livre. 
Gb-voile
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Lors de l’été 2010, ils étaient nombreux, en rang dans les rues de la capitale du Pays de Galle, pour rendre un dernier hommage à un garçon de 7 ans, mort dans l’incendie de sa maison.
Mais en réalité, Yaseen Ali Ege avait brutalement été battu à mort, puis immolé avec de l’essence de barbecue. Par sa propre mère. Pour ne pas avoir assez bien appris le coran. Dans les mois précédant le drame, maman avait essayé de le lui faire apprendre à coups de bâton, à coups de rouleau à pâtisserie et à coups de marteau, mais malgré tous ces encouragements, il n’avait pu mémoriser que quelques pages. Et donc elle l’a tué, et elle a déclaré par la suite qu’elle se sentait « à 100% mieux ».
Ce mois-ci, au tribunal royal de Cardiff, Madame Ege a été condamnée et mise en prison par Monsieur le juge, Wyn Williams, à cause de ce qu’il a dénoncé comme « un crime affreux », qui a infligé « énormément de souffrances » à un enfant innocent. Toutefois, le juge a fait preuve de suffisamment de discrétion pour ne rien évoquer de problèmes culturels bien plus fondamentaux. Tant que le marteau parental et le kérosène restent sous bonne garde dans la cabane à outils, il n’a sans doute rien à dire du bien fondé, voire de la priorité d’éducation, à contraindre un enfant « gallois » à apprendre le coran. Et il n’avait rien à dire non plus sur la capacité d’un enfant qu’on élève ainsi à prendre sa juste et active part dans une société occidentale. Ann James, la directrice de l’école primaire de Radnor, l’école du petit Yaseen, a dit de lui qu’il était « un petit garçon charmant, [qu’il] se conduisait très bien et souriait tout le temps », en oubliant de mentionner que le jour de son assassinat, on l’avait gardé à la maison, empêché de participer au « pique-nique des ours en peluche » car sa mère avait estimé qu’il valait mieux qu’il se concentre sur l’étude du coran.
Et pour dépoussiérer l’expression qui m’a valu d’être trainé devant les commissaires canadiens des « Droits de la Personne », c’est l’heure du « pas d’amalgame ». Pas d’amalgame, bien sûr que les musulmans ne brutalisent pas tous leur famille – même si la fille de 10 ans d’Asia Parveen, à Stok Newington, a du être soignée pour 56 blessures infligées car elle ne lisait pas assez de versets du coran, même si Hesha Yones, de l’ouest londonien, a été égorgée par son père car trop « occidentale », même si un bébé de 5 mois a été battu à mort avec un coran, en Suède, à Halmstadt, même si une campagne contre la violence musulmane au foyer a été lancée justement ce mois-ci en Ecosse, même si un sondage de la BBC a montré que 2/3 des jeunes musulmans britanniques soutiennent la violence contre ceux qui « déshonorent » leurs familles, et même si, aux Pays Bas, les musulmanes représentent 60% des personnes recueillies dans les foyers de femmes battues … Et pas d’amalgame, bien sûr, tous les musulmans ne pratiquent pas la ségrégation, même si 57% des Britanniques d’origine pakistanaise sont mariés entre cousins, et même si à Bradford, dans le Yorkshire, ce chiffre s’élève à 75% …
Néanmoins, force est de reconnaitre que de nombreux musulmans partagent les mêmes sensibilités culturelles que la mère du petit Yaseen.
Et dans ce sens, Madame la directrice James, et Monsieur le juge Williams sont à la traîne de tous les indicateurs. La démographie transforme la Grande Bretagne. Selon le recensement de 2011, la population musulmane du Royaume-Uni a doublé dans la décennie qui a suivi le 11 septembre. A Cardiff, l’enterrement du petit Yaseen a eu lieu à la Mosquée Bilal, qui se trouvait être auparavant une église chrétienne, construite durant le renouveau du protestantisme gallois au 19ème siècle. Au pays de Galle, ce renouveau chrétien c’est désormais de l’histoire ancienne. Si la population musulmane doit encore doubler dans les 10 ans à venir, on verra des juges et des directeurs musulmans rejoindre Monsieur Williams et Madame James sur les bancs des tribunaux et dans les écoles. Un juge musulman ne porterait-il pas un regard plus aimable sur Madame Ege, ou tout du moins un regard plus respectueux de ses motifs ? Un directeur d’école musulman ne serait-il pas porté à réorienter les priorités d’enseignement, de sorte que les études extrascolaires de Yaseen ne seraient plus nécessaires ?
Qui sait ? Au pays de Galle, comme dans la plupart du monde occidental, nous sommes au beau milieu d’une expérimentation socioculturelle sans aucun précédent dans l’histoire. Nous ne pouvons pas savoir où cela nous mènera précisément, mais sur le continent, on en voit déjà émerger les contours : à Amsterdam, la ville que l’on connaissait avant comme « la plus tolérante d’Europe », tabasser des gays est devenu chose courante ; des « jeunes » y ont fait irruption lors d’un défilé de mode, ont attrapé un mannequin gay, et l’ont atrocement roué de coups. Claire Berlinski avait écrit il y a deux ans dans le National Review qu’à La Courneuve, dans cette banlieue française, 77% des femmes voilées disaient le faire pour « éviter la colère des patrouilles de bonne moralité islamique ». A Postdam, le Collège de Théologie Abraham Geiger conseille à ses rabbins de ne pas s’aventurer dans les rues en portant des signes distinctifs de leur foi. Dans les synagogues, de Copenhague à Berlin en passant par Rome, on prévient les Juifs qu’il vaut mieux cacher leurs kippas sous un chapeau ou une casquette après les offices religieux. A Paris, un homme qui ne portait pourtant aucun habit religieux a été tabassé et laissé inconscient dans le métro pour avoir été surpris en train de lire un livre écrit par le Grand Rabbin. Le message est clair et net, pour les Juifs, pour les gays, pour les femmes : dans la nouvelle Europe, mieux vaut ne pas être perçu comme différent. Baissez la tête, ou alors, couvrez-là.
Pendant 10 ans, ceux qui me traitaient « d’alarmiste » n’ont eu de cesse que de me dire qu’il n’y avait rien à voir. L’enfant de 7 ans dont on ne remarque même pas l’absence au « pique-nique des ours en peluche » … Le système de santé britannique [National Health Service] assiégé de toutes parts, croulant sous le coût des complications génétiques dus aux mariages entre cousins, mais qui propose maintenant une « reconstruction de l’hymen » discrète et gratuite aux filles musulmanes qui se seraient un peu trop laissées occidentaliser … Les femmes non musulmanes qui préfèrent se voiler plutôt que s’attirer des ennuis dans les banlieues [en français dans le texte] … Les rabbins qui portent des casquettes dans les rues de Berlin et de Bruxelles …
Et l’une des raisons de ce « circulez, il n’y a rien à voir », ce sont les dimensions toujours plus grandes que prennent nos contorsions, nos lâchetés, tous ces accommodements que nous faisons pour ne pas le voir. Le voile descend, il nous recouvre tous peu à peu …
Source : The Veil Descends, par Mark Steyn, National Review's Happy Warrior, 15 janvier 2013. Traduction par Olaf pour Poste de veille
Effectivement, la couardise est de bon ton dans la société occidentale, tout les journaleux athées qui se disent humanistes et ignorent complètement les fondements de nos sociétés judéo-chrétiennes, les petits enfants ne reçoivent plus d'informations d'où ils sont issus sauf pour calomnier nos ancêtres et les critiquer sur leur foi etc, ils feront de belles proies pour les islamistes, tout ça grâce aux snobinards de la caste universitaire new age sur la marijuana...

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