mercredi 8 août 2012

Islamisation de l'Europe

L'islamisation de l'Europe est en marche.
Des signes de plus en plus évident qu’un Jihad de conquête a débuté au Moyen Orient et au Proche Orient apparaissent de toute part. A travers ce qu’en France on appelle « les Printemps Arabes », on voit poindre des tentatives évidentes de déstabiliser tous les pays arabes afin d’y implanter des régimes islamistes. Demain la prochaine cible sera la Jordanie où les frères Musulmans et les mouvements radicaux palestiniens tentent de déstabiliser le pouvoir en place.
Mais si cette tentative d’islamisation jihadiste est évidente dans les pays arabes, l’Europe n’est pas à l’abri de ce mouvement mondial. Il semble que partout des signes d’une autre forme d’islamisation plus sournoise apparaissent dans nos démocraties fragilisées par la tolérance et la libre expression, fondements de nos valeurs du monde libre.

Il semble que c’est à Kartoum en mars 2011, que les mouvements Jihadistes aient déterminé du début de ce mouvement d’islamisation des pays Arabes. Déjà les pays islamistes, membres de l’Organisation pour la Conférence Islamique OCI, avaient créé la notion d’islamophobie pour empêcher toute critique de l’Islam radical. Ainsi ils balisaient le terrain pour une conquête future…
Déjà l’ONU est en partie contrôlée par le bloc des pays de l’OCI qui, faisant alliance avec les blocs Africains et les Non-Alignés détiennent une large majorité contre l’Occident. Ainsi on voit à l’ONU que plus de 60 % des résolutions sont consacrées à condamner Israël, petit pays ne représentant que 7 millions d’habitants, qui à en croire ces résolutions serait responsable de tous les maux de la Terre. ‘Voir notre article sur les enjeux de Durban ici)
Israël, dans ce contexte, n’apparait être qu’un prétexte pour stigmatiser les USA et l’Europe. En effet, comment pourrait-on croire que l’équilibre mondial repose sur la docilité ou non d’un pays représentant à peine deux départements français et qui ne possède ni pétrole ni ressources naturelles essentielles.
La cause du peuple palestinien ? Prétexte encore, car depuis plus de 63 ans aucun des pays arabes voisins n’a intégré les populations de réfugiés, pire encore ils les ont « parqué » dans des camps de réfugiés, entretenant ainsi de façon permanente une population d’opprimé « perpétuel » à dessein.
D’ailleurs, les pays de l’OCI ne sont pas de « généreux donateurs » de la cause palestinienne. Non, ils se moquent bien de cette cause. En revanche ils font sans cesse pression sur l’Europe pour payer toujours plus…
La vraie cible étant d’étendre l’islamisation et l’influence du bloc de l’OCI partout. Jeux d’influences ? Pas seulement, volonté de domination des pays producteurs de pétrole et des régimes islamistes radicaux…
L’Europe est pour sa part en proie à une islamisation d’une autre nature…
L’analyse qui suit sur l’islamisation de l’Europe a été écrite en 2009 par Michael Mannheimer, journaliste allemand. Elle reste malheureusement d’actualité…
Elle permet de comprendre les origines de la situation qui risque de mener à des guerres civiles en Europe, où les peuples n’accepteront jamais d’être livrés à une dictature du clergé.
« Grâce à vos lois démocratiques, nous prendrons le pouvoir. Grâce à vos lois religieuses, nous allons vous gouverner » a dit un imam d’Izmir.
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L’islamisation de l’Europe est en plein essor et la majorité des Européens se trouvent impuissants face à cette situation. Ils ne sont informés ni de la véritable nature  de l’islam, ni du contexte des prétentions politiques islamiques sur le territoire de l’Europe.
Les musulmans ne sont pas venus pour s’intégrer dans la société européenne. Leur objectif est la transformation de l’Europe en terre d’islam où seule la charia, la loi de l’islam, sera appliquée. Je vais vous parler d’une série de documents contenant des informations importantes sur les aspirations expansionnistes des musulmans et de leurs complices appartenant à l’élite occidentale, et ces informations vous permettront de leur opposer une nécessaire résistance.
Partie 1 : Le contexte politique, idéologique et religieux sur lequel s’appuie l’islamisation de l’Europe
Les plans de la gauche pour l’islamisation – et leurs réalisations incessantes jusqu’à maintenant.
Au début des années 1990, les représentants du parti allemand « Bündnis90/Les Verts » (Coalition90/Greenpeace) pour une Europe franco-allemande et l’un de leurs politiciens vedettes, Daniel Cohn-Bendit, annonçait la couleur ainsi :
« Nous, les Verts, devons lutter afin que le maximum d’étrangers viennent s’installer en Allemagne. Quand ils seront en Allemagne nous devrons lutter pour qu’ils obtiennent le droit de vote. Quand cet objectif sera atteint nous aurons alors le nombre suffisant d’électeurs pour changer cette république ».
Jürgen Trittin, le ministre fédéral pour l’Environnement, la Protection de la nature et la Sécurité nucléaire, sous les ordres du chancelier Schröder (1998-2005), puis après octobre 2005, ministre fédéral de la Protection des consommateurs, Alimentation et Agriculture a conservé l’idéologie du Mouvement Pacifiste de 1968 (le fameux « esprit soixante-huitard ») jusqu’à nos jours. Encore maintenant, il est fidèle à son adhésion au mouvement maoïste d’alors, la « Fédération communiste » (Kommunistischen Bund KB, avec leur slogan : « Plus jamais ça,  Allemagne ! »), et à ce sujet il affirme :
« Ce n’est pas la faute de la jeunesse, et je crois qu’il y a davantage de choses pour lesquelles nous devons lutter aujourd’hui… ».
Dans le contexte de cette déclaration, l’opinion de Trittin au sujet des élections démocratiques est intéressante. En effet, Trittin est moins intéressé par une représentation des majorités au Parlement que  par la prise du pouvoir par son parti, grâce aux :
« minorités agissantes et au contrôle de l’opinion ».
Ceci n’est rien d’autre  qu’une stratégie post-communiste pour propager le  dogme léniniste de la dictature du prolétariat, de la  part d’un politicien allemand important. C’est par cela même que les communistes ont justifié les décennies d’oppression de leurs concitoyens par une minorité radicale, arrogante, et surtout complètement fascisante d’extrême gauche. Dès lors, et avec les grands succès obtenus jusqu’à maintenant par la même stratégie du contrôle de l’opinion publique, Trittin a esquissé un plan plus pertinent concernant les relations de pouvoir réel dans les pays européens. Même les analystes des sciences politiques n’ont jamais été capables de parvenir à ce but avec leurs grandes théories. Certes, les pouvoirs parlementaires sont actuellement entre les mains des partis conservateurs européens, cependant, ce contrôle de l’opinion des masses dont parle Trittin, et le pouvoir qui en découle, est entièrement dans les mains des minorités gauchistes parfaitement organisées, (mot-clé : cartel de l’opinion de la gauche fasciste) qui jusqu’à présent ne rencontrent aucune contradiction sur la décision de ce qui est politiquement correct et ne l’est pas, mais nous reviendrons là-dessus.
Des politiciens déchus se cherchent un nouveau peuple,Ou comment une satire politique se transforme finalement en réalité.
Penchons-nous d’abord sur la tête « pensante » des Verts (Greenpeace), l’Allemand Joschka Fischer, longtemps chef de son parti et ancien ministre allemand des Affaires étrangères. Dans sa jeunesse, ce sympathisant de la RAF (la célèbre Fraction de l’armée rouge, des communistes révolutionnaires) en lutte contre les policiers, militait contre  son propre pays  et détestait le modèle occidental. Il adhérait aux mêmes slogans que son ami et compagnon de route Cohn-Bendit. Fischer affirme : « Je découvre de plus en plus à quel point je suis demeuré un marxiste », et il dévoile les véritables intentions politiques derrière l’immigration massive dans son livre au titre révélateur : Risiko Deutschland (L’Allemagne : Le risque) (1994). Le quotidien Die Welt résume ainsi  ce livre  :
«L’Allemagne doit être encerclée de l’extérieur, et à l’intérieur, par des flux migratoires, on doit hétérogénéiser [sa population] jusqu’à la diluer.» (Deutschland muss von aussen eingehegt, und innen durch Zustrom heterogenisiert, quasi « verdünnt » werden).
En clair, l’idée d’une fraude électorale de proportions historiques était née et elle   serait mise en œuvre par la suite, insidieusement et facilement mais néanmoins sans aucune hésitation. En 1960, seulement 600 000 musulmans vivaient en Europe, en 2010 ils sont 30 millions, et la plus grande immigration de masse de l’Histoire continue sans ralentir. Chaque année, un million d’immigrés musulmans affluent en Europe. Tout cela s’effectue dans la légalité, par les regroupements familiaux, et les réfugiés politiques qui viennent demander l’asile politique fuyant leurs pays musulmans où les droits humains sont piétinés. Encore et encore, ils reçoivent les mêmes droits que les résidents, sans être obligés d’acquérir les moindres rudiments de la culture, de l’éducation et des compétences professionnelles nécessaires pour s’adapter à une société européenne hi-tech.
Mais ils ne sont pas venus pour s’intégrer dans cette société occidentale, c’est d’ailleurs interdit par leur foi, ainsi que le leur rappellent leurs leaders religieux, très organisés, et qui ont depuis longtemps pris le contrôle des musulmans en Europe. Leur principal objectif politique est de réaliser ce que leur commande leur foi, ce qu’Allah commande : gouverner les Infidèles dans le monde entier. C’est ce qui est écrit dans le coran, c’est cela que leur prophète Mahomet commande aussi. Et c’est également cela que chaque musulman s’efforce de réaliser dans tous les pays européens, indépendamment des partis auxquels ils appartiennent par ailleurs.
La domination du monde est le but principal de l’islam
Que ce soit Vural Öger (député allemand du SPD d’origine turque) ou Boumediene (ancien chef de l’Etat algérien) ou Izbetbegovic (ex-Président bosniaque) ou Erbakan (ancien premier ministre turc) … chacun d’entre eux connaissait parfaitement le plan de conquête et employait tout le pouvoir qu’il avait pour l’accomplir.
Seuls les bien-pensants occidentaux et l’élite de gauche refusent avec insistance de reconnaître la volonté islamique de domination du monde, car ils suivent naïvement la devise des bien-pensants et des personnes de bonne volonté qui croient que ce qui est immoral ne peut tout simplement pas exister. Mais il faut le dire à tous ceux qui refusent d’accepter la réalité: les musulmans ne se soucient pas  de ce que les non-musulmans pensent de l’islam. Ce que l’islam implique, ce qu’il signifie vraiment, chaque musulman le comprend parfaitement.  Disons-le clairement, les idéaux occidentaux ou toutes autres valeurs morales, sont considérés [par les musulmans] comme un tas de déchets. Khomeiny l’a formulé sans ambigüité :
« Gouverner le monde est le but de l’islam. »
Cette déclaration pourrait être confirmée par tous ceux qui connaissent l’islam. Bassam Tibi, orientaliste et homme scientifique germano-syrien ajoutait :
«Partout, où vivent des musulmans, l’Islam se proclame l’unique propriétaire  légitime (les avis dissidents ne sont pas valides).»
Même le chef de la police de Cologne - tenu par l’obligation de neutralité liée à sa fonction – a conclu sobrement suite à l’ouverture des frontières et sur la base du taux de natalité élevé des musulmans que l’Etat allemand sera conquis en 2030. Puisque l’islam aspire à la domination du monde, il pourrait y avoir une guerre civile sanglante en Allemagne et en Europe.
Son collègue à Vienne, Alfred Ellinger, président de l’Association des criminologues autrichiens (Vereinigung Österreichischer Kriminalisten), prévoit la même chose. Dans un commentaire sur l’état de l’Europe par rapport à l’islam, il écrit:
«Tout musulman a le devoir de défendre son territoire contre les attaques des infidèles et en même temps de détruire le monde des infidèles de manière à ce que l’Islam domine le monde entier. Le djihad ne prend fin que lorsque toutes les personnes ont soit accepté la foi islamique, ou soit se soumettent à son autorité. La frontière de l’Islam est la frontière du monde».
Tout comme le Turc Metin Kaplan – qu’on appelle ironiquement le “Calife de Cologne”, fondateur du groupe militant musulman  «L’état-caliphat», qui entretient une haine envers les Juifs et Israël. Reconnu demandeur d’asile, il a proclamé dans d’innombrables sermons la création d’une “théocratie islamique allemande” et prophétise la prochaine domination islamique sur le monde. […]
Adolph Hitler qui avait une connaissance minimale de l’islam collaborait avec le Grand Mufti de Jérusalem, dans le but notamment d’établir un camp de la mort pour les Juifs vivant en Palestine. Néanmoins, il était capable de saisir la  portée du désir de domination du monde islamique mieux que la plupart de nos contemporains européens éduqués.
« Si nous étions devenus des mahométans, nous serions, aujourd’hui, les maîtres du monde »
Partout dans le monde, les musulmans œuvrent à la prise du pouvoir, et  ni une soi-disant opinion de la gauche ou des Verts ne pourra  les retenir. Nargess Eskandari-Grünberg, une politicienne musulmane appartenant à la  coalition Bündnis90/Greenpeace a répondu ceci lors d’une assemblée sur l’éducation et l’intégration quand  un citoyen  s’est  plaint du nombre élevé  d’étrangers vivant à Hausen, le quartier de Francfort où il habite:
« L’immigration est un fait à Francfort et si ça ne vous plait pas, vous pouvez déménager ailleurs. »
Cette Nargess Eskandari-Grünberg, née à Téhéran en 1965, a fui son pays en tant que réfugiée politique en 1985, et s’est alors installée en Allemagne.
Comment les politiciens européens, avec l’aide des électeurs musulmans,  prennent des décisions  politiques contre leurs propres peuples
Entretemps, l’influence des musulmans  sur la politique européenne et sur le pouvoir politique est devenue énorme. Souvenez-vous  de Gerhard Schröder (audio de Schröder: “Oui, je suis un marxiste!”), quand il  fut réélu de justesse au poste de chancelier avec une très mince  majorité. Se retrouvant devant la menace d’une possible défaite aux élections, Schröder misa sur le vote turc en promettant que, sous sa direction, l’entrée de la Turquie dans l’UE serait irrévocablement acceptée. Ce message visait les 600.000 immigrants musulmans naturalisés, dont la majorité était d’origine turque. C’est sur eux que Schröder avait placé ses espoirs et son approche fut couronnée de succès. Grâce aux électeurs turcs-allemands lui ayant donné la majorité de leurs voix, Schröder, du parti SPD et les Verts ont été en mesure d’obtenir une majorité avec un avantage de seulement 6.027 voix, juste assez pour être réélu à la Chancellerie et ceci contre la volonté du peuple allemand, car sans les voix des immigrés naturalisés turco-allemands, Gerhard Schröder aurait perdu cette élection avec une marge considérable de plus d’un demi-million de votes.
Imaginez ceci : Que les hommes politiques gouvernent contre la volonté de leur propre peuple.
C’est exactement ce que Cohn-Bendit voulait, et c’est le même plan qui a été mis en œuvre dans toute l’Europe par le puissant cartel de gauche appelant à une “dilution” de l’électorat des Européens de souche, et dont on peut voir maintenant les résultats.
Le changement de groupes de population n’est pas une invention nouvelle. Comme moyen “non-militaire” de solution définitive, ce changement a été réalisé dans des contrées étrangères déjà occupées et le peuple conquis a vu sa population d’origine remplacée au fil du temps par éviction “douce”, lentement,  jusqu’à ce que la population d’origine n’y soit plus. Un bel exemple dans l’histoire récente est le Nord de Chypre. Occupé depuis 1974 par la Turquie, des centaines de milliers de Turcs d’Anatolie y ont été transférés. Le résultat aujourd’hui est que le rapport entre les Chypriotes grecs et turcs a radicalement changé en faveur de la minorité provenant de la Turquie.
Un autre exemple, celui du Tibet : cette immense  région autonome de 1,2 millions de kilomètres carrés (l’Allemagne en comparaison est de seulement  350.000 kilomètres carrés) est passée sous l’occupation chinoise dans les années 1950. Depuis lors, la Chine a veillé à ce que des millions de Chinois s’installent au Tibet, de sorte que dans l’intervalle, les Tibétains sont devenus minoritaires dans leur propre pays. Dans ces deux cas, la redistribution des groupes de population a été guidée par l’autorité de la puissance occupante, et le résultat est logiquement à l’avantage du groupe ethnique de cette puissance occupante.
Bikini-Burka2L’Europe, par contre, n’est pas occupée par une puissance extérieure, mais malgré cela, le continent se trouve dans les affres de l’un des plus grands bouleversements démographiques de son histoire par le biais de l’arrivée de nouveaux groupes ethniques, musulmans pour la plupart, qui arrivent à remplacer progressivement les Européens de souche. L’originalité est que ce bouleversement a été orchestré par ses propres politiciens européens et a été programmé de longue date, tout en allant à l’encontre des intérêts et des besoins des Européens de souche.
Non seulement ces politiciens n’ont pas demandé la permission à leurs électeurs sur cette question, mais en plus ils n’ont pas voulu réagir aux protestations croissantes de la population européenne, parce qu’une telle immigration de masse a conduit au fait que l’Europe telle que les Européens l’ont connue jadis, est de moins en moins reconnaissable.
Dans de nombreux endroits, les Européens sont devenus des étrangers dans leur propre pays, et dès le début, ils n’ont pas voulu de cette immigration massive. Cette politique d’immigration porte en elle tous les signes d’un concept totalitaire de gouvernance de la part de l’élite politique de l’Europe, et nous rappelle les mouvements de population géants dans l’Union soviétique et la Chine communiste sous Staline et Mao. Ces changements étaient décidés par un minuscule cercle politique, et réalisés sans la moindre consultation des peuples indigènes concernés.
En bref : l’extrême gauche et les Verts en Europe qui sévissent dans certains secteurs clés, tels que l’élargissement de la communauté européenne, l’immigration, la nationalité et les médias, ont agi comme agiraient des forces d’occupation étrangère. Cependant, vu que ceux qui portent l’entière responsabilité de cette immigration de masse ont été incapables de convaincre leurs électeurs européens du bien-fondé de leur idéologie politique, ils ont entrepris d’organiser l’occupation de leurs pays par des hordes de gens parlant des langues étrangères, avec une religion et une culture étrangères. Et leur intention demeure de « diluer » les Européens afin de leur retirer, progressivement, tout pouvoir.
Tout ceci n’est en réalité qu’une forme nouvelle de « purification ethnique ». En outre, on distingue certains signes pervers : il n’y a pas de forces d’occupation extérieures, mais plutôt une petite minorité très déterminée, interne aux populations indigènes européennes, et cette minorité au pouvoir peut d’ores et déjà, mais surtout à long terme, remplacer sa propre population par une autre qui lui promettrait un plus fort soutien dans ses objectifs politiques.
Le grand plan de la gauche et des Verts produit d’ores et déjà les résultats escomptés : à Bruxelles, à Milan ou à Oslo, le prénom Mohammed est désormais le plus commun donné aux nouveaux nés. En Angleterre le prénom le plus courant était Jack, c’est dorénavant Mohammed. En Hollande, en 2004, 56 pour cent des enfants et des jeunes dans les grandes villes sont des étrangers, la plupart sont musulmans.
En Suisse, les projections statistiques pour 2040 indiquent que la population sera à 76 pour cent musulmane, dans l’hypothèse où la politique migratoire de ce pays alpin ne serait pas inversée. Selon une étude autrichienne, en 2051, le tiers des élèves autrichiens sera musulman. Une étude des Archives islamistes de Soest (2006) concernant les développements de la population allemande prévoit qu’en 2045, il y aura en Allemagne 51.72 millions de musulmans et seulement 45 millions d’Allemands de souche. Ces chiffres sont déjà soigneusement évalués par les autorités musulmanes en ce qui concerne  leur prise de pouvoir dans ce pays le plus important d’Europe.
Partie 2 : faits concernant l’islamisation du Danemark
Pendant des décennies le Danemark était un des rares  exemples au niveau mondial d’une société pacifique avec un système social fonctionnant presque à la perfection. Tant en Europe qu’ailleurs, ce petit pays était le modèle à imiter car il avait une forte conscience écologique, un des meilleurs systèmes éducatifs et un taux de criminalité extrêmement bas. Pendant des décennies ces faits étaient la pierre angulaire de la politique voulue par les Sociaux-Démocrates danois.
Cependant, dans les années 90, un certain désenchantement a commencé à se faire sentir, en parallèle avec une soudaine explosion de l’immigration en provenance des pays musulmans. Les Danois constatèrent avec effroi qu’un nombre important de musulmans vivaient déjà dans leurs villes les plus importantes et que ceux-ci avaient peu ou pas du tout l’intention de s’intégrer à la société danoise. Par contre, il devenait de plus en plus évident que les leaders musulmans commençaient à s’attaquer au style de vie des Danois, utilisant un langage de plus en plus brutal pour exprimer leur mépris envers la prétendue « décadence occidentale ».
Graduellement, mais hélas trop lentement, les Danois ont commencé à comprendre qu’avec les musulmans, ils avaient accueilli des gens, qui non seulement n’acceptaient pas les valeurs de base des Danois (liberté de l’individu, liberté d’expression, égalité des sexes, tolérance envers les autres groupes ethniques) mais qui de plus attaquaient ces valeurs avec une hostilité toujours croissante. À la place de la soi-disant « décadence occidentale », ils voulaient mettre en place le modèle de société archaïque de l’islam, espérant l’imposer tôt ou tard au Danemark  comme étant le seul modèle souhaitable  de croyance et de justice.
Au Danemark, tout comme dans les autres pays du « territoire de la guerre » l’islam cherche à noyauter massivement le pays dans le but, à moyen terme, de transformer cet état libéral en un état islamique.  Sur son site Internet, le Parti Islamique du Danemark déclare déjà que la prise du pouvoir est imminente au Danemark. Le seul et unique programme de ce parti est de faire du Danemark un pays islamique en donnant les postes clés à des musulmans. Par ailleurs, ils ont menacé qu’un traitement « inadéquat » des enfants musulmans rencontrerait des réactions violentes de la part des musulmans vivant au Danemark.
Généralités
A l’instar des autres pays occidentaux, les Danois subissent les agressions et les émeutes des immigrés musulmans. […]
Le message envoyé par les musulmans au Danemark, à la France et à tous les autres pays est : « Nous serons les futurs dirigeants de ce pays » ! […]
A cause du racisme musulman, des populations indigènes du Groënland, les Kalaalits, qui sont Danois depuis des siècles sont obligés de changer de domicile. Les Kalaalit n’osent plus marcher dans leurs rues parce que des musulmans leur jettent des pierres ou les attaquent régulièrement de différentes manières. Le motif de ces agressions est incompréhensible et en même temps, surréaliste : de nombreux adeptes de cette “religion de paix” voient les natifs du Groenland comme étant des “infidèles”  ou  même comme des bêtes sauvages ne bénéficiant aucunement de la  protection des droits de l’Homme.
[…] Johanne Christiansen, l’une des femmes de la communauté Kalaalit ayant accepté l’assistance de l’Etat pour déménager, dit: « Je ne pouvais plus supporter d’être la cible de leurs constantes attaques ». Elle était harcelée par des Somaliens et des Arabes. « Ils n’ont absolument aucun respect envers nous ». Les musulmans disent aux Kalaalits qu’il « faudrait carrément uriner sur eux car le Danemark est devenu leur pays ».
A l’exception d’un ou deux journaux locaux danois, les principaux journaux européens n’ont jamais évoqué ces faits. Au contraire, leSüddeutsche Zeitung, champion du déni de réalité d’une « soi-disant menace d’islamisation » de l’Europe, affirme régulièrement que ceux qui mettent en garde contre l’islamisation de l’Europe font erreur, sont racistes, xénophobes, et sont accusés de toutes sortes de vilenies.
[…] Le Spiegel (l’un des rares journaux qui ose encore émettre quelques critiques sur l’islam, mais qui croit, cependant, qu’un islam « modéré » ne serait pas un mal) affirme : « La violence, la terreur et les pressions croissantes des islamistes menacent les chrétiens orientaux. Dans certains pays, ces minorités mal-aimées luttent avec difficultés pour survivre, ou cherchent leur salut dans l’exil ».
Faits étudiés dans le détail
  • Coûts sociaux exorbitants des musulmans au Danemark. […] La plupart des immigrés sont originaires de Turquie, Somalie, Pakistan, Liban, et Irak, ils constituent 5 pour cent de la population mais reçoivent 40 pour cent de l’aide sociale. La contribution per-capita, en impôts et au PIB par les immigrés (dont 80 pour cent sont originaires de pays musulmans) est de 41 pour cent inférieure à celle des Danois, per capita.
  • Taux extrêmement élevé de criminalité chez les musulmans au Danemark. 70 pour cent des crimes commis à Copenhague sont le fait de musulmans. (Note du traducteur : ici M. Mannheimer fait référence au livre de Nicolaï Sennels : Parmi les criminels musulmans  L’expérience d’un psychologue à Copenhague - dont des extraits sont traduits sur Bivouac - et à sa conclusion : « L’intégration des musulmans dans les sociétés européennes est impossible »).
  • Les statistiques en Allemagne sont identiques à celles du Danemark. (Note du traducteur : se reporter au livre publié en septembre 2010 par Thilo Sarrazin). […] L’une des conséquences de ces violences est la chute des prix de l’immobilier dans certaines zones urbaines occupées par des musulmans. […] C’est seulement récemment que le Copenhagen Post a finalement déclaré que la capitale danoise était une « zone de guerre ». […] En ce qui concerne les viols des femmes non-musulmanes, les statistiques montrent des chiffres exorbitants  et qui sont similaires aux chiffres observés en Suède et en Norvège.
  • Persécutions des Juifs et des Chrétiens au Danemark. L’église d’Aarhus a dû payer sa « protection » après avoir embauché des gardes musulmans contre le harcèlement et le vandalisme. Les Arabes veulent tuer des Juifs afin de gagner la reconnaissance des autres musulmans. Les Juifs danois ont dû demander la protection de la police. Les enfants juifs doivent changer d’écoles car ils sont malmenés par les enfants musulmans.
  • Refus de s’intégrer par les musulmans au Danemark. Les musulmans veulent rester entre eux. A l’école, ils terrorisent les autres enfants. Les mariages forcés et les crimes d’honneur sont en constante progression. Le Danemark capitule et les conditions de vie ressemblent de plus en plus à une guerre civile. Le journaliste allemand, critique de l’islam, Udo Ulfkotte, fait ici une description détaillée des zones de non-droit et de trafics au Danemark. […]
  • Terrorisme et soutien des actes de terreur par les musulmans. La candidate du parti des Verts danois conseille aux terroristes d’attaquer les soldats danois. […] La politicienne Palestino-Danoise Asmaa Abdol-Hamid appelle tous ses frères musulmans à tuer des soldats danois partout où ils se trouvent. Abdol-Hamid est venue avec toute sa famille en 1986 au Danemark, où l’asile lui a été généreusement octroyé et où elle a reçu une éducation de haut niveau. Par ailleurs, une récompense de 30 000 dollars est offerte par un groupe musulman danois à quiconque tuerait un Juif au Danemark.
  • Au Danemark, les musulmans réclament le pouvoir. Copenhague : tentatives de meurtres contre les critiques de l’islam: le 21 octobre 2007, l’organisation SIAD est attaquée par des groupes ultra violents de gauchistes, armés de barres de fer, lors d’une manifestation, il y a eu plusieurs blessés graves parmi les membres de SIAD, mais aucun commentaire n’apparaît dans les médias. Par ailleurs, les apostats ou les convertis au christianisme sont menacés de mort.
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Partie 3 : Résumé de l’islamisation au Danemark
Les musulmans veulent diriger l’Europe.
De la liste des faits analysés, il en ressort trois choses :
Premièrement, en prenant en compte tous les immigrants au Danemark, si on relie l’activité criminelle à la religion, les immigrés musulmans se démarquent très largement.
Deuxièmement, les immigrés musulmans sont en constante recherche de prise du pouvoir au Danemark. Ce ne sera pas un changement normal de gouvernement, comme dans les démocraties normales, mais plutôt une transformation complète de ce pays chrétien-démocrate en un pays islamique où s’appliqueront les lois de la charia – un Danemark musulman. Et les musulmans dans tous les autres pays européens poursuivent ce même but dans les pays où ils vivent désormais comme des immigrants.
Troisièmement, il semble que le problème musulman du Danemark ne soit pas limité au Danemark. Chaque pays occidental dans lequel vit une importante  diaspora islamique doit se battre contre des problèmes similaires ou identiques. Car l’Islam n’est pas une religion – et surtout pas une “religion de paix» – mais plutôt un totalitarisme avec une revendication absolue à la domination du monde qui s’est camouflé avec succès depuis 1400 sous le déguisement de la  « religion».
Ce qui rend ceci si difficile à comprendre, entre autres choses, est ce gigantesque vide de connaissances de l’islam chez les non-musulmans. Mais également le fait que nous croyons à un modèle de citoyen du monde de bonne volonté et qu’il nous semble impensable que l’islam soit une exception aussi exagérément marquée parmi les grandes religions. Le Bouddhisme, le Christianisme, le Judaïsme, l’Hindouisme et le Taoïsme présentent ici et là des lacunes, cependant ces religions sont tolérantes et pacifiques de façon inhérente. Sans exception, elles enseignent toutes à leurs adeptes que les choses positives accomplies dans cette vie auront des conséquences positives pour la vie future.
L’endoctrinement de l’islam est mortifère et impose de tuer avec sauvagerie les « infidèles ».
L’islam est donc une exception : son but ultime est de capturer tout le pouvoir sur terre, et tous les autres buts sont subordonnés à celui-ci. L’interdiction de tuer ne concerne que les musulmans, mais en aucun cas les « infidèles ». La paix de l’islam sera atteinte seulement lorsque la domination mondiale sera atteinte. […]
Le communisme avait construit une image idéale de l’Homme, où tous les hommes seraient égaux, et ils ont échoué en raison de cette perception irréelle. Par ailleurs, l’islam construit aussi une image irréelle de l’Homme, car il s’imagine que tous les gens finiront par croire en un Dieu – le dieu de l’islam – et cette image ne coïncide pas avec la réalité de l’infinie diversité psychologique, intellectuelle et créative de chaque être humain. L’espèce humaine est infiniment plus diverse, sophistiquée, intelligente, créative, chaotique, et imprévisible que l’image archaïque de l’Homme offerte par les fondateurs analphabètes de l’islam.
Le « Dar al Islam », ce concept musulman du monde futur dans lequel tous seraient soumis à l’islam, n’est rien de plus qu’une utopie irréaliste – et même surréaliste – qui n’adviendra jamais. Cependant, aussi longtemps que les musulmans luttent pour leur futur rêvé et divisent artificiellement le monde entre « Croyants » et « Infidèles », le mot islam restera associé à la guerre, la terreur et la violence. Cette guerre perpétuelle contre les non musulmans, le djihad, est déclarée devoir religieux pour chaque musulman.
Une audio de Khomeiny dit :
« Les Chrétiens et les Juifs disent « Tu ne tueras point » ! Mais nous, nous disons, que tuer possède la même valeur morale que la prière pour atteindre notre but.»
Mais il y a plus grave encore: l’islam appâte les tueurs à gages, avec la promesse de l’entrée présumée au paradis où des dizaines de vierges attendent les “djihadistes”, et leur feront goûter aux plaisirs sexuels permanents. Et si un musulman a des problèmes avec sa conscience au sujet du meurtre d’un «infidèle», il reçoit l’aide et le soutien religieux directement du coran.
Le coran dit : « Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’Il puisse montrer sa propre puissance. » (sourate 8.17)
En clair : leur dieu islamique, le “Tout Miséricordieux”, non seulement attend de ses fidèles qu’ils tuent les “infidèles”, mais en plus il prend soin de fournir la thérapie nécessaire pour traiter directement avec la situation. Leur dieu veille à ce que la conscience de ses tueurs à gages soit libérée de toute responsabilité personnelle pour leurs meurtres, en prenant cette responsabilité sur lui-même.
On a pu observer chez les génocidaires du siècle passé (Hitler, Staline, Mao, Pol Pot) que « l’Etat » disait : « Ce n’est pas vous qui avez tué, moi, l’Etat, je suis le tueur commanditaire. Vous êtes seulement mon instrument ».
Quand l’Autorité le commande (surtout si l’autorité est un dieu), cela est plus facile de commettre un meurtre.
Koran-knife-kopi
Aucune autre religion au monde n’a instauré une culture si perverse du meurtre, aucune autre religion au monde n’enseigne systématiquement à ses adeptes comment tuer les adeptes des autres religions, aucune autre religion au monde considère avec une intention diabolique la non responsabilité des actes commis, ce qui, de fait, immunise les musulmans contre tout sentiment de culpabilité envers les meurtres des innocents, et tout cela est écrit dans leurs « Saintes écritures ». Au point que si Satan existait, alors le nom de sa religion serait l’islam et son prophète serait Mahomet.
[…] Le coran ordonne de tuer et de violer les infidèles dans 206 versets ainsi que la propagation de la foi par l’épée. Dans 1800 autres passages, le prophète Mahomet lui-même ordonne à chaque musulman de se référer aux Hadiths et à la Sunna.
Conclusion : des personnes mauvaises, il en existe dans toutes les religions, mais seul l’islam est capable de transformer une bonne personne, en une personne diabolique.
[…] La notion de liberté religieuse doit être reconsidérée d’urgence. Si les textes sacrés d’une quelconque religion, sa fondation et les déclarations de ses prophètes violent de façon aussi flagrante la Déclaration des droits de l’Homme de l’ONU, comme c’est le cas pour l’islam, alors il faut lui retirer le statut de « religion ».
[…] On ne doit désormais plus permettre que l’islam invalide les systèmes légaux historiques des États comme cela arrive depuis déjà trop longtemps dans la plupart des pays occidentaux. En outre, des lois religieuses ne doivent en aucun cas supplanter les lois constitutionnelles. Nous devons formuler ainsi:
La loi constitutionnelle prévaut sur la loi religieuse ! Il n’y a pas de si, de mais, ni de et.

Partie 4 : Qui sont les Occidentaux qui facilitent l’islamisation
Sans le soutien actif des intellectuels occidentaux, des pasteurs, politiciens, artistes, journalistes et auteurs, l’islamisation de l’Europe ne pourrait rencontrer aucun succès.
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Les politiciens qui permettent l’islamisation
Jacob Hougaard, employé à la Commission pour l’Intégration à Copenhague, demande sur un ton très sérieux d’accroître la visibilité de l’islam dans les écoles danoises et sur les lieux de travail, et affirme dans une audio : « L’islam doit devenir une composante de la vie publique ».
Il raffine le défi jusqu’à demander que les vacances scolaires coïncident avec les fêtes musulmanes, il demande des toilettes séparées pour les musulmans et exige que les employeurs du secteur privé respectent les cinq prières quotidiennes et la possibilité d’obtenir des repas halal.
Uffe Ellemann-Jensen, ex-ministre danois des Affaires étrangères, appartient lui aussi au parti des « apaiseurs pacifistes » de gauche et il a violemment critiqué la republication des caricatures du 7 février 2006, demandant même la démission du rédacteur en chef duJyllands-Posten.
[…] Stefan Meller ministre des Affaires étrangères de Pologne fait des courbettes et s’excuse officiellement pour la republication des caricatures par un journal indépendant, dans un geste de soumission rapide et immédiat envers tous les musulmans du monde.
[…] Zbigniew Nosowski, rédacteur en chef du mensuel Wiez, renchérit avec une critique du gouvernement polonais : « Cette publication était une provocation amplifiée par la couverture médiatique. Les provocations des journalistes peuvent être utiles lorsqu’elles dénoncent des faits non détectables par d’autres moyens. La seule information communiquée par les caricatures était … le niveau d’ignorance concernant le fait religieux ».
[…] Erdogan, le Premier ministre turc, co-auteur du Manifeste de son parti, a également sévèrement condamné la publication des caricatures, mais pourtant ces caricatures sont bien peu de choses comparées au Manifeste de son parti politique écrit en 1997, dont il est co-auteur, qui demande la totale annihilation des Juifs. C’est un point de vue correct des choses selon le coran et son contenu antisémite, et c’est islamiquement correct selon les déclarations de Mahomet. Mais cet appel au génocide n’est jamais critiqué par les associations musulmanes, ni par les théologiens de l’islam. […]
Presse-see no evil hear no evil
Le silence des médias
À ce jour, les médias occidentaux “de qualité” ont gardé le silence sur cette déclaration d’Erdogan – une déclaration qui n’est pourtant pas moins grave que celles d’Hitler et d’Ahmadinejad. Coïncidence ? Jamais de la vie !  Si les rédacteurs avaient été en mesure de dénicher de telles déclarations dans les archives, venant d’un président américain ou israélien, ils auraient certainement fait les manchettes du monde durant des semaines !
L’appel monstrueux d’Erdogan au génocide des Juifs de ce monde ne semble pas valoir la moindre ligne pour la plupart des médias, mais pour Erdogan, cela ne semble également poser aucun problème moral. Par contre, oser une critique de son prophète Mahomet qui a demandé à ses disciples plusieurs fois d’anéantir les Juifs, et qui avait lui-même tué d’innombrables Juifs, cela provoque chez lui un grand trouble. Il est bien connu que les assassinats de non-musulmans sont permis dans l’Islam. Cependant, celui qui évoque cette licence islamique de tuer, celui qui l’appelle par son nom, est considérée par l’islam comme ayant commis une offense impardonnable aux prophètes et la religion. C’est toute l’hypocrisie, et la hiérarchie des principes moraux de cette “religion de paix.”
Aussi, j’accuse la grande majorité des médias de complicité abjecte avec le totalitarisme islamique et avec ses principaux religieux ou politiques, qu’elle soit intentionnelle ou pas.
Les raisons de cette complicité (souvent intentionnelle) sont :
  • Haine envers la société composée de citoyens occidentaux
  • Anti-américanisme
  • Antisémitisme
  • Une ignorance crasse des tenants et aboutissants de l’islam.
Les journalistes en tant que facilitateurs de l’islamisation
La presse occidentale ne reconnaît aucun tabou : si le sujet est la chrétienté, le pape, les politiciens occidentaux ou non occidentaux, les artistes, les pays, des scientifiques, des idéologies ou des idéologues, des religions ou des sectes. Tout peut être analysé, critiqué, caricaturé – et la liberté de le faire est une bonne chose.
Cependant Hendrik Zörner, porte-parole de l’association des journalistes allemands (Deutscher Journalistenverband -DJV) a lui aussi critiqué avec véhémence la reproduction des caricatures danoises, faisant référence au « Code de la presse », selon lequel : « La publication par le mot et l’image, qui par sa forme et son contenu peut porter atteinte aux sensibilités religieuses d’un groupe de personnes, viole les stipulations écrites dans ce Code.» (Numéro 10 du code allemand de la presse) […]
Régis Debray, dans une interview publiée par le Nouvel Observateur, s’aligne lui aussi sur un scénario international de subjugation à l’islam, et demande ni plus ni moins un autocontrôle par chacun dans la formulation de ses propres opinions en ce qui concerne l’islam, il soutient : « Nous ne pouvons projeter nos formes de pensées et notre système culturel sur une autre culture qui a son histoire et où la religion joue un rôle structurel, comme c’était le cas pour nous il y a trois siècles ». […]
Les écrivains en tant que facilitateurs de l’islamisation
Kurt Tucholsky, écrivain allemand, affirmait en 1919 : « Ce qui est permis dans une satire ? Tout. »
Cependant, un siècle plus tard, un prix Nobel de la paix et de littérature, l’Allemand Günter Grass, a soutenu au sujet des caricatures, qu’il s’agit «d’une provocation consciente et planifiée par un journal danois d’extrême droite ». M. Grass avait auparavant évoqué sa « compréhension » des attentats contre les tours jumelles à New York et s’était reconnu une certaine sympathie envers les terroristes musulmans. […]
Grass va si loin dans son amitié pour l’islamo-fascisme qu’il a proposé, à l’occasion de la candidature de Lübeck en tant que «capitale culturelle de l’Europe», que l’une des églises de Lübeck soit transformée en mosquée. Ce qui serait prêché dans cette mosquée ne semble pas l’intéresser particulièrement. Mais rappelons maintenant la nature des textes coraniques prêchés dans ces mosquées dans le monde entier :
« Quand vous rencontrez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. » (sourate 47.4)
« Tuez les infidèles partout où vous les trouverez. » (sourate 2.187)
« Et s’ils retournaient à l’infidélité, saisissez-les et mettez-les à mort, partout où vous les trouverez. » (sourate 4.91)
« Ô Croyants ! Ne prenez jamais comme amis ni des Juifs ni des Chrétiens. » (sourate 5.54)
« Ô Croyants ! Combattez les infidèles qui vous avoisinent ; qu’ils vous trouvent toujours sévères à leur égard.» (sourate 9.124) […]
(Note du traducteur : citations du coran de la traduction authentique de Kasimirsky, préface par Mohammed Arkoun ; versets de Médine, donc abrogeants).
Les psychanalystes en tant que facilitateurs de l’islamisation
Horst-Eberhard Richter, très célèbre psychanalyste allemand, chef de file du Mouvement pour la paix et figure de proue des Verts, comme Grass, Richter a vu dans le conflit des caricatures un problème de l’Occident, je cite : « L’Occident doit renoncer à toutes provocations et faire preuve d’humilité, nous devons davantage estimer l’identité culturelle des pays musulmans ». […]
Dans son essai : « Islamophobie – symptôme d’une anxiété pathologique », il pose la question rhétorique ainsi : «L’islamophobie est-elle un symptôme d’anxiété pathologique ? »
[…] Afin de clarifier et d’écarter les doutes, l’un des plus connus et respectés psychanalystes allemands, qui prétend s’opposer à la misogynie et au totalitarisme, considère la critique du théo-fascisme et de la suprématie des mâles de l’islam, comme une maladie… ex-cathedra, pour ainsi dire. Le mot qui tue : « islamophobie » ne peut avoir un autre sens. […]
La gauche en tant que facilitatrice de l’islamisation
[…] Etant donné que les gens de gauche refusent généralement le débat sur l’aspect inhumain et totalitaire de l’islam, ils ont abandonné le champ politique de la critique de l’islam à d’autres, qu’ils diabolisent et accusent d’être « hostiles aux étrangers ».
Cependant, cette stratégie de diabolisation de la droite employée par la gauche est finalement devenue un boomerang idéologique, parce que dans le long terme, la constante association des termes «hostile aux étrangers» et «critique de l’islam», rend maintenant impossible pour la gauche, même dans les cas les plus évidents, de participer activement à la discussion sur l’islam. Dans ce cas, cette accusation d’«hostilité envers les étrangers» peut se refermer sur eux de toute sa force. La gauche bien-pensante se sera mise dans un cercle vicieux duquel elle n’aura pas où s’échapper, et à la fin, c’est l’islam qui sera le véritable vainqueur.
Les convertis en tant que facilitateurs de l’islamisation
Au Danemark, une tendance à la conversion à la «religion de paix» peut aussi être observée. Comme en Allemagne et d’autres pays occidentaux, une grande partie des quelques 4.000 convertis à l’islam danois se sont installés dans la gauche et les partis verts de la politique. Ce fait est clairement observable dans une étude de l’Université de Copenhague.
Selon cette étude, les personnes sondées converties à l’islam sont ouvertement opposées au modèle occidental de démocratie, et désirent que l’islam soit la forme de gouvernance dans leur pays. Ce retournement interne des valeurs de la gauche d’antan par les convertis à l’islam est stupéfiant :
- d’un athéisme “communistement correct”,  à une religion où le moindre doute sur son dieu et son prophète est punissable de mort, et qui veut mettre de force le monde entier sous la bannière d’Allah ;
- de la demande d’égalité entre homme et femme, à une religion de l’apartheid entre les sexes, lorsque, conformément à la loi des manuscrits religieux (Coran et Sunna) l’assujettissement de la femme avec pratiquement aucun droit, est scellé une fois pour toutes ;
-de l’égalité pour toutes les personnes, à l’égalité de toutes les personnes partageant les mêmes idées, les musulmans. En revanche, toutes les autres personnes, selon le Coran, selon Mahomet et selon les agents de la «religion de paix” peuvent être tuées en toute bonne conscience.
[…] On est en droit de se demander si lors de leur conversion à la « religion de paix », ces Occidentaux ont été informés qu’il n’existe pas de retour à leur vie pré islamique, et qu’en cas d’apostasie ils seraient tués, comme l’affirme Mahomet : « Tuez quiconque quitte l’islam ». (Sourate 4.91)
Peace-In-Our-Time-CO-560
Conclusion : après avoir échoué l’apaisement d’Hitler, les «pacifistes» occidentaux récidivent.
[…] La théorie de l’apaisement est absurde car l’expérience historique montre que les régimes voyous, sans exception, ont dû être vaincus par la force. Ce fut le cas avec Hitler, avec les Khmers Rouges au Cambodge, et avec le régime cannibale d’Idi Amin Dada en Ouganda, qui s’était d’ailleurs converti à l’islam. […]
Non, la seule conclusion correcte suite à la Seconde guerre mondiale doit être : « Plus jamais de tolérance pour l’intolérance. »
[…] Cependant, il faut que les « pacifistes » et les ennemis de la liberté occidentale comprennent bien une chose : le crocodile islamique les mangera les premiers !
La faillite collective de l’élite occidentale
[…] Là où la prise de conscience et la défense sont concernées, non seulement les juristes et les politiciens ont misérablement failli à leur tâche, mais pire : par leur passivité envers la menace mortelle que constitue l’islam contre nos pays, ils ont brisé le serment de loyauté envers leurs peuples et que leur fonction et la constitution leur imposent, et qui est, avant toute autre considération, de protéger leurs populations contre ce danger mortel.
Alors que faire ?
Quiconque veut empêcher Eurabia d’advenir, ne peut compter ni sur la justice ni sur la politique, mais doit devenir très actif, selon les suggestions suivantes :
  • Ne jamais voter pour un politicien pro-islam. Annuler tout abonnement à des journaux ou magasines favorables.
  • Les lecteurs doivent envoyer, en masse, des lettres de protestations contre les articles et commentaires qui qualifient les critiques de l’islam de gens dangereux « d’extrême droite », et contre les articles qui nient le fait que l’islamisation de l’Europe est bel et bien en train de se produire.
  • Submerger d’e-mails et de lettres les radios et télés qui produisent des émissions islamophiles.
  • Etablir des avertissements de masse contre les juges qui détournent nos lois et qui favorisent cette immigration massive.
  • Ne plus jamais voter pour des maires et des partis qui se sont engagés dans la construction de mosquées, et largement diffuser les noms des élus complices.
  • Envoyez des lettres de protestations aux mairies, préfectures et partis politiques.
  • Organisez des sit-ins et autres petites ou grandes manifestations partout où cela est possible.
  • Informez les relations et les amis sur l’islam, par des textes d’informations sur la vraie nature de l’islam, et par e-mails.
  • Partagez vos connaissances sur l’islam avec vos amis, clients, relations…
  • Quand vous votez (aux niveaux, local, national ou européen) ne votez que pour ceux qui ont officiellement mentionné le caractère dangereux de l’islam et s’opposent aux menaces.
  • Soutenez et encouragez les politiciens, journalistes, intellectuels, artistes et autres citoyens, assez courageux pour oser critiquer l’islam en acceptant la stigmatisation insultante « d’extrême droite » que les musulmans ou la gauche vont, comme d’habitude, coller sur leur nom.
Tout a été dit, mais une seule vérité est inébranlable : « Celui qui ne combat pas, a déjà perdu la bataille ».
 


 
 


 

 
 

 
 
 


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