dimanche 4 septembre 2011

La presse britannique montre à ses lecteurs : que la « révolution libyenne » a eu la haine du « noir », la haine du « zanj », comme carburant.


Cette haine, c’est le mépris quotidien. C’est le mépris sans limite. C’est cette indifférence pour la souffrance du « zanj », qui éclate lorsque l’épouse de Kadhafi ébouillante une servante noire.
Ce carburant de l’insurrection libyenne, c’est le mépris et la haine partagée par toute une société, pour ses domestiques noirs, pour ses ouvriers noirs, pour ses troufions noirs.
C’est une situation dérangeante, pour une presse qui fait ses choux gras quotidien de la dénonciation du « racisme » et de la « xénophobie » de « l’extrême droite », qu’il vaut mieux faire comme si les révélations de la presse britannique n’étaient pas intervenues ou gravement sujette à caution, surtout aujourd’hui. En effet, ce matin à commencé la conférence destinée à nous taxer pour financer le CNT, pour qu’il reconstruise ce qu’il a détruit.
Soixante pays donateurs se réunissent pour cela à Paris, à partir d’aujourd’hui, pour fixer l’enveloppe et la quote-part des uns et des autres...
La réalité raciste, xénophobe, organisatrice de lynchages et de massacres répétitifs de noirs, par la « révolution » libyenne, est si dérangeante, qu’une vidéo montrant des images de ces violences racistes, -mises sur « You tube », hier soir à 18 heures 30, par l’agence Novo Presse-, sont devenues inaccessibles ce matin à 8 heures 30.
Que penser ? Qu’il y a un bon racisme, une bonne xénophobie*1, qu’il y a de bons et vertueux lynchages, lorsque ce sont des miliciens islamistes ou des « musulmans modérés » qui lynchent, mutilent ou surexploitent des immigrés africains, venus tous d’Afrique subsaharienne, pour faire tourner la machine et servir des maîtres et maîtresses libyennes, sur demande de l’ancien Raïs renversé?
Alain Rubin
*1 c’est en effet une question, et par seulement pour ce qui concerne la Libye.C’est ainsi qu’en Belgique, la presse signale que nombreux sont les parents Marocains, ayant accédé au rang de membre de la « classe moyenne », a refuser que leurs progénitures fréquentent la même école que les immigrés des pays... de l’est. Bon racisme ? Bonne xénophobie ? Bon refus du « vivre ensemble », puisque ce sont de fidèles pratiquants du bon et doux universaliste islam, qui sont en cause

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