Le chef de la Ligue arabe a affirmé samedi être parvenu à un accord sur les réformes avec le président Bachar al-Assad lors d'une brève visite en Syrie, tout en soulignant son refus de toute ingérence étrangère, malgré la répression meurtrière qu'il dénonce.
Les Etats-Unis ont indiqué vendredi qu'ils voulaient "accélérer le travail la semaine prochaine" à l'ONU, où les Occidentaux tentent sans succès d'obtenir une condamnation plus ferme du régime syrien.
Les Etats-Unis et plusieurs de leurs alliés européens, en particulier la France et l'Allemagne, ont pris des sanctions contre le régime de M. Assad, et souhaitent le faire condamner par une résolution de l'ONU. Mais la Russie, un membre permanent du Conseil de sécurité, s'oppose depuis des mois à une telle initiative, en invoquant le principe de non-ingérence.
Les Etats-Unis ont indiqué vendredi qu'ils voulaient "accélérer le travail la semaine prochaine" à l'ONU, où les Occidentaux tentent sans succès d'obtenir une condamnation plus ferme du régime syrien.
Les Etats-Unis et plusieurs de leurs alliés européens, en particulier la France et l'Allemagne, ont pris des sanctions contre le régime de M. Assad, et souhaitent le faire condamner par une résolution de l'ONU. Mais la Russie, un membre permanent du Conseil de sécurité, s'oppose depuis des mois à une telle initiative, en invoquant le principe de non-ingérence.
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